Alors que la leçon principale des législatives de 2024 a été la résurrection d’un puissant front républicain qui a barré la route du pouvoir au Rassemblement national, celui-ci s’est pourtant retrouvé en position d’arbitre dans la nomination du premier ministre. Son gouvernement ne pourra désormais se faire (ou se défaire) qu’avec l’assentiment du parti d’extrême droite. Explications en podcast avec Clément Guillou, journaliste au service politique.

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