« Nos armes sont liées à l’occupation [israélienne]. Si l’occupation prend fin, ces armes reviendront à l’Etat. La question des armes fait toujours l’objet de discussions avec les factions [palestiniennes] et les médiateurs, et l’accord n’en est qu’à ses débuts », a déclaré dimanche Khalil Al-Hayya.
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