En janvier, un élève de 14 ans reçoit une violente gifle assénée par le surveillant général, Marie-Paul de Behr. Son tympan est percé et il perd 40 % de son audition.

En décembre, le même élève est laissé seul, en sous-vêtements, sur le perron de l’établissement, en guise de punition pour son chahutage. Son père, Jean-François Seris, vice-président de l’association des parents d’élèves, tente en vain de mobiliser les autres parents. Il est démis de ses responsabilités dans l’association par ses homologues et invité à « présenter ses excuses » en public.

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