• La duchesse de Sussex continue de diversifier sa marque, qui vendait jusque-là confitures, bougies et autres produits pour la table.
  • As ever a mis en ligne mardi 1ᵉʳ juillet du rosé californien, première étape avant l’arrivée d’autres variétés.
  • Si les stocks ont été écoulés en une heure, les médias britanniques ont tiqué sur la date choisie pour ce lancement.

Sa petite entreprise ne connaît pas la crise. Alors Meghan Markle a choisi de ne pas s’imposer de limites, quitte à se lancer sur un marché déjà saturé chez les célébrités. La duchesse de Sussex, qui fait déjà un carton avec son miel, ses confitures et ses bougies, a ouvert la cave à vin de sa marque As ever avec en produit d’appel, un rosé né dans la vallée californienne de Napa, célèbre pour ses vignobles. « Sélectionné avec soin par Meghan, il est fait pour être dégusté avec ceux que vous aimez », précise le site dédié (nouvelle fenêtre), interdit d’accès aux moins de 21 ans en raison de la loi américaine.

30 dollars la bouteille

L’étiquette sur les bouteilles promet « un rosé délicatement équilibré avec de douces notes de fruits à noyau, une légère minéralité et long en bouche ». Les acheteurs ont largement répondu présents, le stock s’écoulant en moins d’une heure selon le magazine People (nouvelle fenêtre). Et ce, malgré les prix plutôt élevés. 

Il fallait compter 30 dollars, soit 25 euros pour une bouteille, mais n’était vendu que par trois (90 dollars, 77 euros), par demi-caisse (159 dollars, 135 euros) ou par caisse (300 dollars, 256 euros). C’est plus que le rosé d’Avaline, la marque de l’actrice Cameron Diaz (nouvelle fenêtre)(24 dollars) ou de Miraval, celle de Brad Pitt (19,90 euros), tous deux issus du savoir-faire français.

Meghan a fait confiance à Fairwinds Estate, producteurs situés à six heures de route de son domicile de Montecito, précise The Guardian. Elle reviendra dans les prochaines semaines avec un vin pétillant « et d’autres variétés à suivre ». À l’image de ses autres produits, son rosé ne peut être acheté à l’international. Mais cela n’empêche pas la presse britannique de se montrer taquine comme toujours, surtout quand il s’agit de noter que cette nouvelle branche alcoolisée a été lancée le 1er juillet. « Que c’est astucieux », ironise un éditorialiste du Telegraph en rappelant qu’il s’agit de l’anniversaire de la défunte Lady Diana, qui aurait eu 64 ans ce lundi.

Sauf que le 1ᵉʳ juillet, c’est aussi l’anniversaire de la première discussion entre Meghan et son prince Harry. L’ancienne actrice et le fils de Charles III sont d’abord entrés en contact le 1ᵉʳ juillet 2016, avant que leur histoire ne soit rendue publique quelques mois plus tard. Tout ça méritait bien de trinquer, toujours avec modération, avec un verre de son propre rosé en main.

Delphine DE FREITAS

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