L’arrivée au pouvoir d’Ahmed Al-Charaa à Damas fournit au président turc l’occasion de mettre en avant une formation islamiste autre que la sienne, estime la politologue Ezgi Basaran, dans un entretien au « Monde ». Avec l’objectif de renforcer un récit identitaire et triomphaliste visant à consolider sa base nationale.

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