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« Bye, Marco. » L’équipe qui remonte dans le car à la queue leu leu ne porte pas de shorts et de crampons, mais des costumes de bonne facture et des cravates. Quelques rares femmes font tache de couleurs vives dans la file de patrons de l’industrie chimique qui quittent la gigantesque usine BASF du port d’Anvers (Belgique). Ce sont eux, le « lobby » de la chimie.

En ce 20 février 2024, 73 présidents-directeurs généraux (PDG) de 17 secteurs sont rassemblés pour signer la déclaration d’Anvers pour un pacte industriel européen, ou Industrial Deal. Presque tous opèrent dans le domaine de la chimie. La plus puissante organisation de lobbying d’Europe, le Conseil européen de l’industrie chimique (Cefic), a affrété un car pour véhiculer les deux tiers de son conseil d’administration, dont les membres représentent le groupe allemand Bayer ou le belge Syensqo (auparavant Solvay).

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