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  • Ce lundi 21 juillet, ils livrent leurs analyses sur le couvre-feu pour les mineurs instauré à Nîmes, notamment.

Pour faire face aux violences qui secouent la ville, et protéger les mineurs, la municipalité de Nîmes a mis en place un couvre-feu (nouvelle fenêtre) pour les moins de 16 ans, en vigueur à partir de ce lundi 21 juillet à 21h. Ce n’est pas la seule commune qui prend de telles mesures. À Saint-Ouen-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), les jeunes de moins de 16 ans sont soumis au couvre-feu depuis le 17 juillet dernier. À Limoges (nouvelle fenêtre), un couvre-feu est imposé aux moins de 13 ans pour toute la durée des vacances scolaires. 

« Le couvre-feu peut être efficace s’il y a un nombre suffisant de policiers pour vérifier son application« , réagit un internaute, Gilles, habitant de Condeissiat, dans l’Ain. « Effectivement« , confirme Raphaël Maillochon, journaliste police-justice de TF1-LCI. « Nul doute que les policiers nationaux vont être sursollicités pour vérifier » la tenue du couvre-feu à Nîmes. 

« Et c’est pour ça d’ailleurs que le ministère de l’Intérieur a décidé d’envoyer sur place une branche de la CRS 8, cette CRS spécialisée dans le maintien de l’ordre et le rétablissement de l’ordre avec deux sections, ce qui représente environ 80 à 90 policiers spécialisés« , explique-t-il.

Retrouvez l’intégralité de la chronique « LCI vous répond » dans la vidéo en tête de cet article.

Gaëlle SHEEHAN

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