• François Bayrou tiendra ce lundi une conférence de presse à 16h.
  • Ce rendez-vous médiatique constitue le prologue d’une rentrée politique périlleuse pour le gouvernement et son projet de budget à 43,8 milliards d’euros d’économies.
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Minute par minute

JOURS FÉRIÉS

Le plan budgétaire défendu par François Bayrou prévoit notamment la suppression de deux jours fériés.

Une mesure destinée à rapporter 4,2 milliards d’euros par an. Mais la proposition est très largement impopulaire auprès des Français, selon un sondage.

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APPELS À LA MOBILISATION

Alors que le Premier ministre appelle les partis à la responsabilité, la grogne monte et les appels aux blocages le 10 septembre se multiplient. 

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BONJOUR

Bienvenue dans ce direct consacré à la conférence de presse de François Bayrou, qui se tiendra à 16h ce lundi. Le Premier ministre lance sa rentrée politique avec une grande explication autour de son projet de budget, qui propose des pistes pour réaliser 44 milliards d’euros d’économies. Un rendez-vous sous haute tension, sur fond d’appels à bloquer la France le 10 septembre prochain. 

François Bayrou en première ligne. Sur le pont à Matignon cet été, le Premier ministre s’exprime lundi à 16H00, quatre jours après avoir été reçu par Emmanuel Macron à Brégançon (Var), jeudi soir. L’hôte de Matignon aborde une nouvelle étape de son entreprise de persuasion de l’opinion du bien-fondé de son plan budgétaire annoncé le 15 juillet.

Ce projet, qui comprend notamment une « année blanche » fiscale et la suppression de deux jours fériés, lui vaut déjà des menaces de censure à l’Assemblée de la part de la gauche, Parti socialiste compris, mais aussi du Rassemblement national.

« Il n’est pas possible que cette politique cruelle s’applique. C’est pourquoi j’ai la quasi-certitude que la motion de censure sera votée (…) dès le mois de septembre », a déclaré samedi sur TF1 Jean-Luc Mélenchon depuis l’université d’été de LFI à Châteauneuf-sur-Isère (Drôme). Le leader Insoumis a par ailleurs apporté son soutien au mouvement, né sur internet, appelant à « bloquer » le pays le 10 septembre, et prôné la « grève générale ».

« Le gouvernement doit reculer faute de quoi il sera censuré« , a renchéri le premier secrétaire du PS Olivier Faure, qui a par ailleurs expliqué vouloir « accompagner » le mouvement du 10 septembre.

La rédaction de TF1info

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