Ils étaient plus de 100 000, le 14 septembre, dans les rues de Madrid, tous réunis pour la cause palestinienne et pour contester la participation de l’équipe Israel-Premier Tech à la Vuelta, l’un des trois Grands Tours cyclistes.

La situation a dégénéré lorsque plusieurs milliers de manifestants ont franchi les barrières de sécurité et envahi la Gran Via, une artère emblématique, que les coureurs devaient emprunter à neuf reprises. Face à cette mobilisation, les organisateurs ont été contraints d’annuler l’ultime étape de la course.

Peu avant la course, le premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, avait fait part de son « admiration » envers ces manifestants. Des propos qui ont été condamnés par l’opposition et le ministre des affaires étrangères israélien, Gideon Saar.

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