• Ousmane Dembélé a été sacré Ballon d’Or 2025 ce lundi à Paris.
  • L’attaquant du PSG et de l’équipe de France a fondu en larmes au moment de recevoir le trophée individuel suprême du football mondial.

« C’est exceptionnel ce que je viens de vivre. » C’est par ces mots qu’Ousmane Dembélé a commencé son discours sur la scène du théâtre du Châtelet, ce lundi 22 septembre, dans la capitale française. Le Parisien de 28 ans venait d’être sacré Ballon d’Or 2025, devant Lamine Yamal, lorsque l’émotion a commencé à le submerger. Le numéro 7 de l’équipe de France a terminé en larmes, aux côtés de sa mère, après avoir été le sixième Français à inscrire son nom au palmarès du plus beau trophée individuel décerné dans le football, le premier depuis Karim Benzema en 2022.

Ce trophée individuel, c’est le collectif qui l’a gagné

Ousmane Dembélé, Ballon d’Or 2025

« Je n’ai pas de mots, ça a été une année incroyable avec le PSG », a lancé Ousmane Dembélé, Ballon d’Or posé sur son pupitre, à sa gauche, avant de s’arrêter. « J’ai un peu de stress, ce n’est pas facile », a-t-il expliqué, alors que le chant « Et Ousmane, Ballon d’Or » descendait des sièges du théâtre. « Gagner ce trophée remis par Ronaldinho est exceptionnel. Je suis fier de tout ce que j’ai accompli durant ma carrière. »

Ousmane Dembélé, auteur de 35 buts et 16 passes décisives en 53 matchs lors de la saison 2024/2025, a ensuite longuement remercié le PSG, avec qui il a remporté la Ligue des champions en mai dernier. « Toute l’équipe, tout le club, est une famille incroyable, a-t-il assuré. Je veux remercier le président, tout le staff, l’entraîneur Luis Enrique, c’est comme un papa pour moi. Je veux remercier les coéquipiers, c’est grâce à vous tout ça. (…) Ce trophée individuel, c’est le collectif qui l’a gagné. »

Le nouveau meilleur joueur du monde a ensuite remercié ses anciens clubs – du Stade Rennais où il a été formé au Barça où il a passé six ans -, en passant par l’équipe de France. « Merci au sélectionneur de me faire confiance dans les bons comme les mauvais moments », a-t-il adressé à Didier Deschamps, présent dans la salle. « On espère gagner une Coupe du monde pour le coach, c’est sa dernière année. » Avant de s’effondrer au moment de saluer sa mère, montée sur scène peu après. Des larmes de joie… en or.

Idèr NABILI

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