Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, et le chancelier allemand, Friedrich Merz, lors d’ une vidéoconférence sur la guerre en Ukraine, à Berlin, le 13 août 2025.

C’est un soulagement prudent qu’ont exprimé les dirigeants européens à l’issue de leur visioconférence avec Donald Trump, organisée mercredi 13 août à l’initiative du chancelier allemand, Friedrich Merz, en présence du président ukrainien, Volodymyr Zelensky. Les Européens voulaient déchiffrer les intentions du président américain avant sa rencontre avec son homologue russe, Vladimir Poutine, en Alaska, vendredi 15 août, et le convaincre de ne pas brader la sécurité européenne.

Ces efforts ont-ils payé ? Les participants européens ont répondu par l’affirmative. Friedrich Merz a dit avoir « l’espoir que les choses bougent ». Keir Starmer, le premier ministre britannique, a affirmé croire aux « chances réelles de parvenir à un cessez-le-feu », partageant ainsi le sentiment de Volodymyr Zelensky. Le président français, Emmanuel Macron, a déduit des échanges avec Donald Trump que « la volonté américaine était d’obtenir un cessez-le-feu, en même temps qu’un échange de prisonniers et la libération d’enfants ukrainiens ».

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