Jean-Philippe Mateta et Anton Krivotsyuk lors du match France-Azerbaïdjan, au Parc des Princes, à Paris, le 10 octobre 2025.

Le football n’est pas la discipline la plus suivie lors des Jeux olympiques (JO), mais en sélectionneur consciencieux et minutieux, Didier Deschamps n’avait pas raté une miette du parcours de l’équipe de France aux JO de Paris 2024. Le sélectionneur des Bleus, qui affrontent l’Islande à Reykjavik, lundi 13 octobre (20 h 45), n’avait pas non plus manqué de se renseigner auprès de Thierry Henry. L’ex-buteur tricolore avait mené cette équipe de France olympique jusqu’en finale, perdue face à l’Espagne, en prolongation.

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De ses longs échanges avec « Titi », ancien coéquipier lors du titre mondial remporté en 1998, et fort de ses observations pendant le tournoi olympique, Didier Deschamps avait glané quelques certitudes sur certains joueurs capables d’être promus chez les A. En treize mois, le sélectionneur en a ainsi fait « monter » sept, le dernier en date étant Jean-Philippe Mateta, convoqué pour la première fois pour le rassemblement du mois d’octobre.

Cet héritage issu des JO, Didier Deschamps le jugeait « logique » au moment de l’évoquer au Centre national du football, à Clairefontaine (Yvelines), en début de semaine dernière : « Avec les JO, le parcours qu’ils ont fait, forcément, ils se mettent plus en valeur par rapport à d’autres qui n’étaient pas là. Je me sers, je me nourris de ça et des informations que je peux avoir. (…) Après, c’est à eux [les médaillés olympiques] de maintenir leur niveau de performance. »

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