Il appartient à la « génération Bataclan », ces jeunes militants d’extrême droite ultraviolents qui se sont radicalisés à la suite des attentats djihadistes de 2015. Dix ans plus tard, Baptiste C. purge lui-même une peine pour terrorisme. Le terme d’un parcours de vie chaotique, sur fond de carence affective, maltraitance, sévices et délinquance. Aujourd’hui, à 28 ans, l’ancien skinhead revendique sa volonté de décrocher de l’idéologie nazie.

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