Une femme utilise un ventilateur portable, à Paris, le 30 juin 2025.

Pas un nuage à l’horizon. Un peu partout en France, pourtant, le ciel vire au gris. De Marseille à Paris, en passant par Lyon, Bordeaux, Saint-Etienne, Grenoble, Clermont, Strasbourg ou encore Lille… une vaste partie du territoire est touchée, conséquence de la vague de chaleur, par un épisode de pollution intense à l’ozone. Avec les mêmes recommandations sanitaires : évitez les sorties l’après-midi lorsque le soleil est à son zénith ou les activités physiques et sportives intenses, consulter un professionnel de santé en cas de gêne respiratoire ou cardiaque.

« Compte tenu de la vague très inhabituelle de chaleur que connaît actuellement l’Ile-de-France, Laurent Nunes, le préfet de police de Paris, a décidé de renforcer le dispositif d’urgence de lutte contre la pollution à l’ozone en mettant en place des mesures restrictives », indique la préfecture de police dans un communiqué lundi 30 août. Après avoir abaissé la limite maximale de vitesse de 20 km/h sur les routes nationales et départementales à l’intérieur du périmètre délimité par l’A86, le préfet a décidé de franchir une étape supplémentaire en activant « la circulation différenciée » pour la journée de mardi 1er juillet, à savoir interdire la circulation des véhicules Crit’Air 3 (environ 400 000) à Paris et dans 77 communes à l’intérieur du périmètre de l’A86. Cette mesure répond notamment à une demande de la Mairie de Paris.

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