Affiche du festival niçois 1 000 Raisons de croire.

En le contactant au sujet de 1 000 Raisons de croire, on devine une petite gêne au sein du service de presse de la mairie de Nice. Ce festival qui tient sa première édition du 4 au 12 octobre revendique un « haut patronage » de la ville… que la communication municipale se presse d’infirmer. « Il n’y a pas de haut patronage », nous certifie-t-on.

Mais à tout le moins un soutien appuyé, à commencer par la mise à disposition de la Maison de la métropole de Nice, dans les beaux quartiers de Paris. A deux pas des Invalides, les organisateurs, Frédéric Bard et Olivier Bonnassies, tenaient une conférence de presse, lundi 29 septembre, pour présenter ce festival destiné à faire « découvrir la fécondité extraordinaire du christianisme, qui est une part essentielle de notre histoire et de notre culture ».

Les dates de l’événement n’ont pas été choisies au hasard : 1 000 Raisons de croire relie deux célébrations chrétiennes, la fête de la Sainte-Réparate – la martyre du IIIe siècle est la patronne de la ville de Nice – et celle de Notre-Dame-du-Rosaire.

Il vous reste 92.62% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Partager
Exit mobile version