Au centre de recherche GlaxoSmithKline, à Stevenage, au Royaume-Uni, le 26 novembre 2019.

A peine débarqué au Royaume-Uni pour une visite d’Etat destinée à affiner l’accord commercial conclu avec Londres, Donald Trump peut déjà s’enorgueillir d’un premier succès. Quelques heures après l’arrivée du président américain outre-Manche, le laboratoire pharmaceutique britannique GSK a annoncé, mercredi 17 septembre, son intention d’investir « au moins 30 milliards de dollars » (soit 25 milliards d’euros) aux Etats-Unis dans les cinq prochaines années.

Cette somme sera en partie destinée à accroître les dépenses de recherche et développement du fabricant de médicaments sur le sol américain. « Les Etats-Unis devraient se classer au premier rang mondial en termes de nombre d’études, de sites et de participants à des essais cliniques menés par GSK au cours des cinq prochaines années », a précisé le groupe pharmaceutique dans un communiqué. Le laboratoire prévoit également de renforcer l’ensemble de ses capacités de production outre-Atlantique, où il dispose déjà de cinq sites de fabrication répartis en Pennsylvanie, en Caroline du Nord, dans le Maryland et dans le Montana.

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