La présidente du groupe parlementaire d’extrême droite du Rassemblement national, Marine Le Pen, participe à une convention d’« unité nationale » entre le parti du Rassemblement national (RN) et le parti de l’Union des droites pour la République (UDR), à l’Assemblée nationale à Paris, le 28 juin 2025.

Elle avait prévenu qu’elle userait de tous les recours possibles. Marine Le Pen n’a pas obtenu gain de cause devant la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), qui a rejeté mercredi 9 juillet sa demande de mesure provisoire déposée la veille, visant à faire suspendre sa peine d’inéligibilité prononcée à son encontre par le tribunal correctionnel de Paris.

« La Cour rejette la demande de Marine Le Pen », présidente du groupe du Rassemblement national (RN) à l’Assemblée nationale, « au motif qu’en tout état de cause l’existence d’un risque imminent d’atteinte irréparable à un droit protégé par la Convention (européenne des droits de l’homme) ou ses protocoles n’est pas établie », rapporte la CEDH, basée à Strasbourg.

Plus d’informations à venir.

Le Monde avec AFP

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