« Il y a eu des réussites, en particulier en matière d’unité et de souveraineté, ce qui n’était pas acquis », affirme le chef de l’Etat

Sept ans après son premier discours sur l’Europe, Emmanuel Macron a affirmé : « Alors nous n’avons pas tout réussi. Il faut être lucides, en particulier lorsque vous souhaitez rendre notre Europe plus démocratique. » « Mais il y a eu des réussites, en particulier en matière d’unité et de souveraineté, ce qui n’était pas acquis », a argumenté le chef de l’Etat.

Le président cite d’abord « l’unité financière pour sortir de la pandémie » liée au Covid-19. « Lorsque nous proposions, nous, Français, une capacité d’endettement commun, on disait l’idée française formidable, [mais que] ça n’arrivera[it] jamais. Eh bien, nous avons su d’abord bâtir un accord franco-allemand, (…) puis nous l’avons, en Européens, porté pour lever 800 milliards d’euros », a retracé M. Macron.

« Ce pas franchi de l’endettement commun par lui-même a été ce qu’à l’époque le ministre des finances [allemand], [Olaf] Scholz, devenant ensuite chancelier, appelait un moment hamiltonien, à juste titre. »

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