- La ministre de la Culture Rachida Dati est soupçonnée d’avoir perçu 900.000 € d’une filiale de l’alliance Renault-Nissan, à l’époque dirigée par Carlos Ghosn.
- Ce contrat, signé pour des missions de conseils, aurait servi à dissimuler une activité de lobbying au Parlement européen.
- De ce fait, des juges d’instruction ont ordonné mardi 22 juillet le renvoi en correctionnel.
Un procès pour Rachida Dati. La ministre de la Culture – et candidate déclarée aux prochaines élections municipales à Paris – et l’ex-tout puissant patron de Renault-Nissan Carlos Ghosn ont été renvoyés devant le tribunal correctionnel par des juges d’instruction parisiens, a appris mardi 22 juillet l’AFP de source judiciaire.
Poursuivis pour corruption et trafic d’influence, les deux mis en cause contestent les accusations dans ce dossier judiciaire instruit depuis 2019.
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