La justice turque a ordonné dimanche l’incarcération pour « corruption » du maire d’Istanbul, Ekrem Imamoglu. L’arrestation du principal opposant de Recep Tayyip Erdogan, mercredi 19 mars, a provoqué une vague de contestation dans l’ensemble du pays. Des centaines de milliers de personnes se sont réunies dans 55 des 81 provinces turques, selon un décompte de l’AFP.

Le Parti républicain du peuple (CHP, social-démocrate), principale force d’opposition à laquelle le maire d’Istanbul appartient, a dénoncé « un coup d’Etat politique ». « Je ne plierai jamais, tout ira bien », a promis l’élu dans un message publié sur le réseau social X par ses avocats.

Ekrem Imamoglu devait assister ce dimanche 23 mars à son investiture en tant que candidat du CHP pour la prochaine élection présidentielle, prévue pour 2028.

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