Ce vote, qui devait apporter une légitimité au premier ministre avant l’examen de son plan de réduction de la dette publique, risque au contraire de précipiter sa sortie et de déstabiliser le pays. Pourquoi a-t-il fait le choix si risqué de le convoquer ? Nathalie Segaunes, journaliste au « Monde » nous aide à y voir plus clair.
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