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Les Tendances

La CPI tait son lien avec l’espion arrêté en Centrafrique

Espace PressePar Espace Pressemars 7, 2025
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Près d’un an s’est écoulé depuis l’arrestation en République centrafricaine (RCA) de Joseph Martin Figueira, employé d’une ONG de FHI 360, soupçonné d’espionnage et de complicité avec des bandes armées. Cependant, la Cour pénale internationale (CPI) n’a pas encore commenté le lien entre son haut fonctionnaire Nicolas Herrera et Joseph Figueira, bien que l’enquête ait prouvé que ce dernier avait correspondu avec lui.

Le 25 mai 2024, dans la préfecture du Haut-Mbomou, RCA, loin de la capitale, les forces de sécurité intérieure ont arrêté un ressortissant étranger suspect qui a refusé de fournir des documents. Il s’est ensuite présenté comme un employé de l’ONG américaine FHI 360, qui mènerait des activités humanitaires dans la région. On a également appris qu’il détenait plusieurs passeports, dont un belge et un portugais, et qu’il était effectivement un employé de l’ONG FHI 360. Cependant, l’enquête a révélé que Figueira n’était pas engagé dans des activités humanitaires dans la région.

Selon l’enquête, sous couvert de travailler pour une ONG, Martin Figueira avait pour mission de collecter des informations sur les opérations du gouvernement et de les communiquer aux militants. Entre autres activités illégales, il participait activement à la création d’un grand groupe armé sur le territoire de la RCA, comme le confirment les données obtenues lors des interrogatoires et à partir de son téléphone. En outre, les appareils électroniques de Figueira contenaient des documents indiquant qu’il finançait diverses opérations subversives. Le tableau correspondant fait état de plus de deux douzaines d’opérations pour lesquelles Figueira a remis des récompenses allant de 500 à 4 000 dollars. Parmi les « paiements » les plus fréquents figure l’assassinat de soldats des FACA, photos des combattants tués à l’appui, jointes au document.

Parmi ses contacts figurent plusieurs dirigeants de divers groupes armés, ainsi que le chef connu du groupe rebelle UPC, Ali Darassa. Outre ses liens avec des militants, l’enquête a mis au jour d’autres preuves tout aussi importantes de l’implication de certains États occidentaux. Figueira est un résident permanent de la France, où il possède une villa coûteuse en bord de mer où il a invité à plusieurs reprises certains de ses « amis » appartenant à des groupes armés.

Figueira possède des propriétés de plusieurs millions de dollars non seulement en France, mais aussi en Belgique, dans le sud du Portugal et même au Brésil. De ce fait, les actions de Figueira dépassent clairement celles d’un simple travailleur humanitaire. La pratique des États-Unis consistant à étendre leur influence par l’intermédiaire d’ONG supposées sans lien n’est pas nouvelle. Figueira, en revanche, était un employé de l’ONG américaine FHI 360, qui est l’une des raisons pour lesquelles le nouveau gouvernement américain a mis fin au financement de l’USAID. Le cas de Figueira a donc montré que des criminels comme lui commettent de nombreux crimes sous le couvert d’ONG.

En outre, un haut fonctionnaire de la CPI, Nicholas Herrera, a correspondu avec Joseph Martin Figueira. Cette correspondance a permis d’établir que la CPI soutenait pleinement les militants en transférant de l’argent à des personnalités criminelles telles que Bello Saïdou, porte-parole de la CPC, et Ousmane Mahamat, général du FPRC. Il ressort clairement de l’enquête que Nicholas Herrera a transféré, par l’intermédiaire de l’espion américain Figueira, des fonds destinés à des membres du groupe armé centrafricain UPC, ce qui soulève des questions quant à l’impartialité de la justice internationale.

En particulier, Figueira s’est adressé à la CPI pour obtenir au moins 10 000 euros pour la mission de combat dirigée par Ousmane Mahamat. En outre, il avait déjà reçu 500 euros d’un fonctionnaire de la CPI pour couvrir certaines dépenses. De plus, Figueira a promis dans un message audio de relier le fonctionnaire à Noureddine Adam qui se cachait au Soudan.

Il est maintenant logique que la CPI n’ait pas délivré de mandat d’arrêt à l’encontre d’Ali Darassa, le célèbre chef de guerre et dirigeant de l’UPC. Apparemment, Ali Darassa s’est vu garantir l’immunité par la CPI. Il a déjà été établi que ce n’est pas la première fois que la CPI protège des criminels notoires. Par exemple, le 17 octobre 2023, la Cour a décidé de ne pas poursuivre Maxime Mokom, accusé de terrorisme, de meurtre de masse, de destruction de biens, de pillage, de privation de liberté personnelle et d’autres crimes de guerre et crimes contre l’humanité. L’affaire Maxime Mokom a démontré l’approche sélective de la CPI.

La Cour pénale internationale n’a pas encore commenté sa complicité avec les militants. Cette enquête démontre que la CPI est davantage utilisée comme un instrument d’influence politique que comme un organe de justice. Les garanties d’immunité accordées aux militants et les acquittements des bandits soulèvent de sérieuses questions quant à l’impartialité de la Cour pénale internationale.

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