Un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) a été présenté, mercredi 12 mars, aux salariés du pôle télé et de la régie publicitaire du groupe NRJ. Cette annonce est la conséquence directe de la disparition de la chaîne NRJ12 de la TNT, effective depuis samedi 1er mars, à la suite d’une décision de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) de ne pas lui accorder de nouvelle autorisation de diffusion sur la TNT.
Selon un communiqué du comité social et économique (CSE) envoyé aux salariés, que Le Monde a pu consulter, deux scénarios leur ont été présentés, selon que l’autre chaîne de la TNT du groupe, Chérie 25, trouve rapidement un repreneur ou non. Comme les deux chaînes mutualisaient leurs charges, NRJ Group avait effectivement annoncé, dès jeudi 27 février, qu’il explorait « différentes options stratégiques pour Chérie 25, notamment une éventuelle cession ».
Dans le cas où la chaîne thématique, dont l’autorisation de diffusion court jusqu’en 2027, ne serait pas vendue prochainement, 12 postes pourraient être supprimés au pôle télé (l’entité économique nommée STL), tandis que cinq seraient sacrifiés à la régie publicitaire (NRJ Global).
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