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Culture

David Hockney, les œuvres des vingt-cinq dernières années présentées à la Fondation Louis Vuitton

Espace PressePar Espace Presseavril 9, 2025
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Une rétrospective en plus de 400 œuvres, voilà un pari risqué ! Sauf qu’à la visite on se prend à penser que ce n’est pas assez. L’exposition mettant l’accent sur la production des vingt-cinq dernières années, certains pans de l’œuvre sont absents ou négligés. Lorsqu’on en fait la remarque à Suzanne Pagé, directrice artistique de la Fondation Louis Vuitton, la réplique est sans appel : « C’est David Hockney lui-même qui a décidé des choix pour l’exposition. Même si Norman Rosenthal [l’ancien directeur de la Royal Academy de Londres] est le commissaire de l’exposition, c’est David qui est responsable de l’accrochage. » Dont acte, après tout, c’est lui le patron. S’il y a un responsable de cette exposition, c’est l’artiste et lui seul.

Fort heureusement, David Hockney, né en 1937, a su se renouveler, pour le meilleur et certains diront, déconcertés par ses derniers tableaux, notamment ceux qu’il a peints en Normandie, pour le pire. L’ensemble témoigne toutefois d’une indéniable curiosité, d’un émerveillement devant les sujets les plus simples et d’une incroyable joie de créer : « J’ai toujours été heureux quand je travaillais, quand je peignais, dit-il dans un entretien avec Suzanne Pagé réalisé pour l’exposition. Et même quand j’étais un peu malheureux pour diverses raisons, dès que je commençais à peindre, je ne l’étais plus vraiment… » Il faut y ajouter une parfaite connaissance de l’histoire de l’art.

On lui doit entre autres une théorie intéressante mais discutée sur l’usage de miroirs ou de la camera obscura, cet ancêtre fort lointain de l’appareil photo, qui permet de projeter une image réelle sur une surface plane, par les artistes de la Renaissance. Mais il est aussi capable d’une variété de techniques, qui vont du dessin réalisé dans la tradition la plus classique à un usage de l’iPad, dont il fut l’un des pionniers, en passant, dès les années 1960, par une utilisation novatrice et que l’on pourrait qualifier de cubiste des photos instantanées faites au Polaroid. C’est précisément ces dernières que l’on regrette de ne pas avoir vues mieux représentées, même si, dans son ensemble, l’exposition est époustouflante.

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