Un voyage officiel, entre tables rondes et visites en petit comité. Emmanuel Macron a profité de ses rencontres avec des acteurs réunionnais, le mardi 22 avril pour tenter de saisir les difficultés qui saisissent pour l’île de La Réunion, dans un contexte marqué par le retour de l’épidémie de chikungunya et la crise agricole, dans le sillage du cyclone Garance qui a frappé l’île, fin février.
Des priorités réaffirmées par le président de la République durant ces quelques heures passées à La Réunion où il a formulé de nombreux engagements. « C’est aussi une manière de marquer le soutien et la solidarité de la nation et de l’Etat avec nos territoires ultramarins », appuie le ministre des outre-mer, Manuel Valls, qui s’est effacé derrière le chef de l’Etat.
Mardi, en début d’après-midi, Emmanuel Macron faisait face au directeur de l’agence régionale de santé (ARS) de La Réunion, Gérard Cotellon, quand ce dernier lui apprend le décès d’un nourrisson atteint d’une encéphalite, des suites du virus chikungunya, cette maladie infectieuse transmise par le moustique tigre. La septième victime recensée depuis le début de l’épidémie.
Il vous reste 80.82% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.