Au coup de sifflet final de la demi-finale retour de la Ligue des champions (C1), mercredi 7 mai, le Parc des Princes a exulté, tandis que des coups de klaxon retentissaient partout dans la capitale française. Cette fois, c’est fait : en battant de nouveau Arsenal (0-1 ; 2-1), le Paris Saint-Germain (PSG) a validé son billet pour la finale de la prestigieuse compétition européenne de football – la deuxième de son histoire, après son duel perdu face au Bayern Munich, en 2020, dans un format remanié pour cause de pandémie de Covid-19.
« Les “moments magiques” dont Mikel Arteta, l’entraîneur [des Gunners], et Declan Rice, son général du milieu de terrain, avaient rêvé, qu’ils avaient espérés et théorisés » à la veille de ce deuxième acte ne se sont pas concrétisés, résume le tabloïd britannique The Daily Mail. « Cela ne veut pas dire qu’Arsenal n’a pas accompli une performance dont il peut être fier (…). Les joueurs ont mis tout leur cœur et toute leur âme dans ce match. Tous. Et ils ont surpassé le PSG pendant une grande partie de la rencontre », relève le titre.
Mais voilà, ils se sont heurtés à un gardien parisien « brillant », encore auteur d’une série de parades salvatrices. « Finalement, le rêve d’Arsenal de remporter la Ligue des champions a connu le même sort que celui de Liverpool et d’Aston Villa : il a été broyé par les pattes monstrueuses de Gianluigi Donnarumma », confirme The Telegraph, qui estime que l’international italien va « hanter » pour longtemps l’ailier londonien Bukayo Saka. En finale de l’Euro 2021, le portier transalpin avait déjà repoussé le tir au but du virevoltant attaquant anglais, offrant le titre à l’Italie.
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