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« Destination finale » : de retour 14 ans après, la saga d’horreur increvable n’a pas fini de compter ses morts

Espace PressePar Espace Pressemai 14, 2025
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La franchise « Destination finale » fête ses 25 ans avec la sortie d’un sixième opus qu’on n’attendait pas mais auquel on ne peut s’arrêter de penser.
En salles ce mercredi 14 mai, cette suite délicieusement vicieuse relance un univers qui a marqué de son empreinte la pop culture avec ses décès tonitruants.

Ils sont nombreux à frissonner en voyant devant eux sur la route un camion transportant des rondins de bois. D’autres ont décidé de ne plus mettre les pieds dans les montagnes russes ou de ne jamais tester les cabines à UV. La faute à une série de films devenue culte, qui célèbre cette année son quart de siècle avec la sortie d’un sixième volet inespéré. « Ce qui est fou dans cette saga, c’est que le premier opus est sorti il y a 25 ans. Le tout dernier chapitre remonte à 14 ans et ce n’est donc pas récent. Mais dans le même temps, les ados de la génération actuelle ont vu ces films », souligne dans les notes de production Adam Stein, co-réalisateur de Destination finale : Bloodlines.

Inspiré d’une histoire vraie

Le phénomène explose au printemps 2000 en même temps que l’avion qui aurait dû tuer ses héros. En partance pour Paris avec sa classe, Alex (Devon Sawa) a une vision plus vraie que nature dans laquelle il voit leur vol se désintégrer. L’ado, qui tente en vain de prévenir les passagers, est expulsé de l’appareil en compagnie de cinq de ses camarades et d’une professeur. Suffisant pour leur permettre de vraiment échapper à un crash au décollage et de déjouer la Mort elle-même, bien décidée à les prendre en chasse un par un pour réparer cette erreur. C’est dans une histoire vraie que Jeffrey Reddick puise les prémices de ce qui deviendra Destination finale.

« J’étais en train de rentrer dans le Kentucky et j’ai lu un article sur une femme qui était à Hawaï. Sa mère l’a appelée et lui a dit : ‘Ne prends pas le vol que tu vas prendre demain. J’ai un mauvais pressentiment’. Elle a donc changé de vol et l’avion qu’elle était censée prendre s’est écrasé. C’est ce qui m’a mis la puce à l’oreille, et ce qui est intéressant, c’est que cela m’a fait réfléchir aux prémonitions », raconte-t-il au site Collider. (nouvelle fenêtre) 

Apprenti scénariste, cet amoureux d’horreur développe alors un premier script intitulé Vol 180 autour de cette idée pour « l’une de ses séries préférées », X-Files, dans l’espoir d’enfin décrocher un agent. « Charles, le frère de Scully, avait une prémonition. Il descend de l’avion, les autres passagers meurent et on pense que c’est sa faute. Mais mes amis du studio New Line m’ont dit : ‘C’est une excellente idée. Faites-en un long métrage' », détaille-t-il auprès du LA Times (nouvelle fenêtre). 

L’humour à mort

Inspiré par Les Griffes de la nuit de Wes Craven, le projet initial prend plusieurs directions jusqu’à ce que Glen Morgan et James Wong, qui en sera le réalisateur, ne façonnent sa version définitive. Les personnages adultes deviennent des ados en réponse au succès d’une autre saga horrifique, Scream. À sa sortie aux États-Unis, Destination finale squatte le top 10 du box-office pendant sept semaines. Le début d’une petite révolution dans le genre du teenage movie d’horreur. Suivront quatre autres films en 11 ans pour plus de 650 millions de dollars de recettes, ainsi que six romans et des bandes dessinées. Tous sont animés par le même moteur, un mélange inédit d’hémoglobine et d’humour qui unit les spectateurs avec malice face au malheur collectif des personnages. 

On tremble autant qu’on rit face à ce plan contrarié du destin, qui laisse derrière lui des indices en guise de fausse piste à la manière d’un Petit Poucet revanchard. Chacun des films démarre en trombe avec des séquences qui ont hanté toute une génération en salles. Cet accident d’avion dans le premier, les rondins de bois dans le deuxième, les montagnes russes dans le troisième, le crash lors d’une course automobile dans le quatrième et ce pont qui s’effondre dans le cinquième. Le sixième ne fait pas exception avec l’une des meilleures ouvertures de la saga. Un bond dans les 60s délicieusement vicieux qui marque un mini-tournant dans la saga, dont la continuité est toutefois assurée par la présence mystérieuse du regretté Tony Todd.

« On connaissait les films en tant que fans mais quand il a fallu réaliser le nôtre, on a voulu explorer les facteurs qui expliquent le succès de ces films emblématiques, et détailler ce qui fonctionne… ou pas. On les tous a revus, on a cherché des schémas récurrents, le nombre de pièges, si les personnages ont conscience que la Mort est dans la pièce ou pas, et si ce n’est pas le cas, combien de temps il leur faut avant de s’en rendre compte. C’était stimulant (…). On a eu de nouvelles idées pour explorer des pistes inédites », indique l’autre co-réalisateur Zach Lipovsky. Fini le groupe d’amis, c’est désormais toute une famille qui est frappée par la malédiction après que la grand-mère a fait faux bond à la Mort quatre décennies plus tôt. 

Co-écrit par Guy Busick (Wedding Nightmare, Abigail, le reboot de Scream), Destination finale : Bloodlines n’y va pas de main morte quand il s’agit d’apporter sa contribution aux décès emblématiques de la saga, poussant les curseurs à la limite du ridicule. Mais c’est aussi ce qui participe à l’engouement autour de cette franchise, consciente de s’amuser de tout et surtout de ses personnages qu’elle malmène autant que ses spectateurs – parmi lesquels bon nombre sont habituellement allergique au cinéma d’horreur. Ce n’est sans doute pas un hasard si les disparitions les plus folles interviennent toujours au milieu des moments les plus quotidiens. Un barbecue en famille, un hôpital… Vous n’êtes jamais à l’abri nulle part. Même pas dans une salle de cinéma, comme dans Destination finale 5.

Absent de l’équipe créative depuis le troisième film, Jeffrey Reddick assure au LA Times « ne pas aimer que tout le monde meurt à la fin des films ». « C’est trop cynique. On se demande pourquoi on regarde ça si tout le monde va mourir à la fin. J’ai donc insisté pour que certains survivants reviennent. Parce que je veux que l’idée soit que vous ne pouvez pas tromper la mort – elle est inévitable pour chacun d’entre nous – mais que vous pouvez prolonger votre vie », dit-il. Si ce n’est pas un appel à ne jamais atteindre sa destination finale…

>> Destination finale : Bloodlines (1h50) – actuellement au cinéma


Delphine DE FREITAS

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