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Donald Trump a rencontré le président syrien après avoir levé les sanctions contre Damas

Espace PressePar Espace Pressemai 14, 2025
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Donald Trump a rencontré assez longuement, mercredi 14 mai, à Ryad, le président syrien, Ahmed Al-Charaa, après avoir annoncé une spectaculaire levée des sanctions contre Damas, qui a salué un « tournant décisif ».

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Donald Trump suspend les sanctions américaines contre la Syrie sous l’impulsion de ses alliés saoudiens et turcs

L’entrevue, annoncée au départ comme brève et informelle par Washington, s’est en réalité prolongée jusqu’à durer une trentaine de minutes, a fait savoir la Maison Blanche. Selon l’agence de presse officielle turque, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, s’est joint par Internet à la conversation.

Le prince héritier saoudien, Mohammed Ben Salman, y a aussi participé, selon une photo publiée par l’agence de presse officielle saoudienne, qui montre une poignée de main entre le président américain et le nouveau chef de l’Etat syrien, arrivé au pouvoir en décembre à la tête d’une coalition de forces islamistes qui ont renversé Bachar Al-Assad.

La rencontre entre Donald Trump et Ahmed Al-Charaa a eu lieu malgré les réticences d’Israël, allié indéfectible des Etats-Unis. Donald Trump a demandé au président syrien de « rejoindre les accords d’Abraham », c’est-à-dire de normaliser la relation avec Israël, d’après un compte rendu publié par la Maison Blanche.

Le président américain a « encouragé [le dirigeant syrien] à faire du bon boulot pour le peuple syrien » et lui a fait plusieurs autres demandes, en particulier celle de « prendre la responsabilité des centres de détention » où se trouvent des membres de l’organisation Etat islamique (EI) dans le nord-est de la Syrie, selon ce compte rendu. Il l’a également « encouragé » à « expulser les terroristes palestiniens » présents en Syrie. Sous les régimes Al-Assad, la Syrie a accueilli pendant des décennies de nombreuses factions palestiniennes, notamment des membres du Hamas et du Jihad islamique.

Levée des sanctions

Donald Trump a annoncé, mardi, qu’il allait « ordonner l’arrêt des sanctions contre la Syrie », qui pèsent lourdement sur l’économie du pays, exsangue après quatorze années de guerre civile. Cette décision était réclamée plus particulièrement par l’Arabie saoudite et la Turquie. La Syrie fait l’objet de sanctions internationales depuis 1979, mais elles ont été renforcées après la répression par le pouvoir de Bachar Al-Assad de manifestations prodémocratie, en 2011.

Donald Trump a estimé que ce geste fort allait « donner [à la Syrie] une chance de grandeur », en allusion à son slogan « Rendre sa grandeur à l’Amérique ». Il s’agit d’un « tournant décisif », s’est réjouie la diplomatie syrienne, après que l’Union européenne, le Royaume-Uni et le Canada ont déjà assoupli leur propre régime de sanctions.

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Ahmed Al-Charaa avait aussi été reçu avec les honneurs à l’Elysée par le président français, Emmanuel Macron, qui l’avait exhorté, le 7 mai, à protéger « tous les Syriens sans exception » face aux violences et exactions entre diverses communautés syriennes.

La levée des sanctions signifie que « Washington a accepté les garanties de l’Arabie saoudite pour légitimer la nouvelle administration syrienne », a affirmé Rabha Seif Allam, du Centre d’études politiques et stratégiques d’Al-Ahram au Caire. Elle permettra à Damas de « recevoir les financements nécessaires pour relancer l’économie, imposer l’autorité de l’Etat central et lancer des projets de construction avec le soutien clair du Golfe », a-t-elle ajouté.

La nouvelle a été accueillie par des célébrations en Syrie, où des dizaines d’hommes, de femmes et d’enfants se sont rassemblés, mardi soir, sur la place des Omeyyades, à Damas.

Accords économiques

Donald Trump devait se réunir ensuite, toujours à Ryad, avec les dirigeants et les représentants des pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG). C’est-à-dire l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, Bahreïn, le Qatar, le Koweït et Oman, six Etats en pleine transformation économique et dont le poids diplomatique déborde largement désormais la seule région du Golfe.

Après l’Arabie saoudite, le président des Etats-Unis se rend mercredi au Qatar voisin, puis jeudi dans les Emirats arabes unis. Il avait livré, mardi, une louange appuyée des gouvernements de la région, en critiquant les stratégies diplomatiques occidentales « interventionnistes ».

Donald Trump vient d’abord dans la région pour signer de gros accords économiques. En Arabie saoudite, la Maison Blanche a clamé avoir glané pour 600 milliards de dollars d’investissements. Ryad a déployé tous ses fastes pour Donald Trump, et Doha, où il se rendra plus tard mercredi, devrait faire de même.

Mais les échanges de l’ancien promoteur immobilier avec les dirigeants qataris auront pour arrière-plan un scandale politique qui couve à Washington. L’opposition démocrate aux Etats-Unis reproche au milliardaire d’avoir accepté « le plus gros pot-de-vin étranger de l’histoire récente ». En cause : un Boeing 747-8 offert à Donald Trump par la famille royale qatarie pour remplacer au moins provisoirement son avion officiel, et pour l’utiliser après son mandat. Le président a répliqué que l’avion était un « cadeau temporaire ».

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Les bonnes affaires de la famille Trump dans le golfe Arabo-Persique : tours de luxe, Boeing 747 offert par le Qatar…

Le Monde avec AFP

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