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« Peur de faire une connerie » : en progression, les banques virtuelles ne rassurent pas encore tout le monde

Espace PressePar Espace Pressemai 25, 2025
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Le secteur bancaire est l’un des secteurs où la dématérialisation des échanges a le plus d’effets.
Si les établissements physiques perdent du terrain face aux banques virtuelles, ils conservent une place essentielle dans l’esprit des consommateurs.
Le 20H de TF1 a essayé de comprendre cette mutation d’un secteur, et la perception qu’en ont les clients.

Suivez la couverture complète

Le 13H

C’est un changement qui s’est progressivement mis en marche depuis le début des années 2000 : la dématérialisation du secteur bancaire. Ces services d’un nouveau genre viennent concurrencer les établissements traditionnels, glanant de plus en plus de parts de marché. À tel point que certaines de ces banques physiques ouvrent, à leur tour, des filières digitales, à l’instar de Fortuneo (Crédit Mutuel Arkéa), de Monabanq (Crédit Mutuel Alliance Fédérale), ou encore de BforBank (Crédit Agricole). Pas moins de 20% des agences sont même menacées de fermeture dans les années proches. TF1 fait le point sur ce domaine en pleine mutation. 

Un gain de temps… et d’argent

Au moment de payer, rien ne différencie une « néobanque » d’une banque traditionnelle. Dans les deux cas, une carte bancaire et une application peuvent être utilisées. Elles sont également toutes deux soumises à la même législation et aux mêmes contrôles, lesquels sont exercés par le gendarme du secteur bancaire, l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR). Par exemple, les normes applicables en matière de fonds propres ou de lutte contre le financement du terrorisme sont similaires. 

Toutefois, une première différence apparaît au moment de l’inscription, avec de démarches raccourcies et simplifiées dans le cas des banques en ligne. « Quand j’ai ouvert mon compte, c’était hyper rapide, ça a pris cinq minutes. C’est bien plus rapide que l’ouverture d’un compte dans une banque classique », affirme Tina au micro de TF1. Comptez cinq minutes pour ouvrir un compte chez Bankin’, Stocard ou Revolut’, contre deux à cinq jours dans une agence classique. 

Les prix très attractifs constituent un nouvel argument en faveur de ces banques de nouvelle génération. « Au lieu de payer un package de tenue de compte dans une banque traditionnelle qui peut être relativement cher – de 8 à 12-13 euros par mois –, vous allez avoir votre carte physique gratuite », explique Juliette Woods, chargée de mission banques assurances à l’UFC-Que-Choisir. Bonus, il n’y a souvent aucun frais supplémentaire pour les paiements à l’étranger. « La néobanque est donc en moyenne 30% moins chère », rappelle TF1 dans le reportage. À noter tout de même que les découverts ne sont pas autorisés.

Une fracture générationnelle qui persiste

Toutefois, et c’est là où le bât blesse, le 100% digital est loin de convaincre tous les Français, notamment chez les anciennes générations. Les banques digitales ne disposent, par définition, pas d’agence physique. « Je ne sais pas comment je pourrais faire pour déposer un chèque sur mon ordinateur », pointe une femme interrogée par TF1. « J’ai aussi peur de faire une connerie », souligne une autre. Une troisième consommatrice estime, elle, que l’absence « d’interlocuteur » rend tout « plus compliqué ». Côté services clients donc, la banque traditionnelle fait de la résistance et marque un point. « Si les enfants ou les parents ont un souci, ils savent vraiment qu’ils peuvent se retrouver directement avec l’interlocuteur privilégié », glisse Stéphane Mimouni, conseiller bancaire à la Banque Postale. 

Ce facteur humain explique que les banques traditionnelles continuent de séduire. Ça, et l’aspect sécuritaire. 72% des Français, soit plus de deux sur trois, estiment qu’une banque traditionnelle est plus sûre qu’une banque en ligne, révèle une étude menée par MoneyVox dans le cadre des Trophées Qualité de la banque 2025. 

Mais surtout, la solution de plus en plus populaire est de choisir… de ne pas choisir. « Certains clients choisissent aussi d’être multibancarisés, donc d’avoir plusieurs banques. Les bonnes pratiques, c’est d’avoir un compte dans une banque traditionnelle et puis peut-être un compte secondaire dans une banque en ligne », note Audrey Blameble, experte finance au cabinet Consulting Come2mind. La marche à suivre souvent d’opter pour une banque pour les transactions courantes et une autre pour les gros investissements et/ou l’épargne. Selon l’étude FBF-IFOP de 2024, 64% des interrogés disent ne posséder un compte que dans une seule banque – et donc 36% en aurait plusieurs. Tout est finalement question de profils, besoins et sensibilités. 


La rédaction de TF1info | Reportage : Suzanne PREZ, Axel CHARLES-MESSANCE

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