- La danseuse phare de « Danse avec les stars » rejoint le casting de la série quotidienne de TF1, « Ici tout commence ».
- La partenaire de Florent Manaudou dans « DALS » jouera le rôle de Ninon Becker, la sœur de Pénélope.
- Un personnage de jeune fille fleur bleue mais dont le côté première de la classe à tendance à agacer ses camarades.
C’est l’une des danseuses phare de « Danse avec les stars ». Après avoir brillé sur le parquet de l’émission avec Black M, Thomas Da Costa ou encore Florent Manaudou, Elsa Bois rejoint le casting d’Ici tout commence
sur TF1.
L’ancienne compagne de Michou – dont elle a aussi été la partenaire lors de la saison 11 de « DALS » – jouera le rôle de Ninon Becker, la sœur de Pénélope (Laurence Facelina).
« C’est la miss je-sais-tout attachante. Malgré sa gentillesse et sa solidarité, son côté première de la classe à tendance à agacer. Pourtant, tout ce que Ninon voudrait, c’est qu’on l’apprécie ! Très fleur bleue, elle espère rencontrer son prince charmant »
, détaille la production.
Elsa Bois victime de cyberharcèlement
La danseuse fera ses premiers pas de comédienne dès ce mardi 17 juin, mais il faudra attendre la mi-août pour la voir à l’antenne. « C’est parti ! »
, s’est réjoui la jeune femme de 24 ans sur Instagram, en légende d’une photo prise dans la loge de maquillage. De quoi mettre du baume au cœur de la danseuse qui a fait face à une vague de harcèlement en ligne après la fin de son histoire d’amour avec Michou, avec qui elle était arrivée en finale de « Danse avec les stars » en 2021.
« Je suis arrivée là pour mettre en valeur quelqu’un d’autre et, en fait, j’ai eu beaucoup de lumière sur moi, d’un seul coup, du jour au lendemain »
, a confié à « 50 Minutes Inside » celle qui a été cinq fois championne de danse latine. « Tout le monde se met à avoir un avis sur moi, sur mon travail, et ça m’aide à me construire. (…) Mais quand ça touche à la vie un peu plus personnelle, c’est plus difficile parce qu’on a l’impression d’être jugé sur notre valeur en tant que personne »
, déplore-t-elle. « Les gens ont besoin d’être pour ou contre, parfois ça fait un peu peur. On en vient à se remettre en question : est-ce que je suis quelqu’un de mauvais ? ».