Akram Ojjeh a bâti sa fortune en étant l’intermédiaire des ventes d’armes françaises à l’Arabie saoudite, jusqu’à sa mort, en 1991. La bataille juridique que sa troisième épouse syrienne, Nahed Tlass-Ojjeh, et son fils, un collectionneur de voitures de luxe, livrent au reste de la famille pourrait être un banal conflit d’héritage. Mais ses ramifications touchent à des affaires d’Etat.
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