- La Nordiste de 22 ans officialise sa participation au concours international de beauté, dont la finale se tiendra le 21 novembre en Thaïlande.
- « Miss Univers a toujours été l’accomplissement d’un rêve », assure la future statisticienne qui nous avait déjà confié son envie l’an dernier.
- Et si elle succédait à Iris Mittenaere, dernière Française à avoir été sacrée ?
Son regard déterminé en dit long sur son ambition. Ève Gilles entame son aventure Miss Univers par une série de photos inédites accompagnant l’officialisation de sa candidature. « C’est un immense honneur de représenter la France (…) et de montrer que la diversité est une richesse dans un concours permettant à toutes les femmes d’atteindre leurs objectifs tout en s’appropriant ce qu’elles sont »
, assure Miss France 2024, assurant que ce concours « a toujours été l’accomplissement d’un rêve »
.
Avant de passer le relais à Angélique Angarni-Filopon l’an dernier, Ève Gilles nous avait confié qu’elle « adorerait participer à Danse avec les stars »
ainsi que « représenter la France à Miss Univers »
. Deux objectifs désormais en partie remplis pour celle qui a participé au concours de danse de TF1 en début d’année. Après le Mexique où Indira Ampiot a terminé aux portes du top 12 l’an dernier, c’est en Thaïlande que se déroulera sa prochaine aventure auprès d’une centaine de candidates. L’édition 2025, dont la finale est programmée le 21 novembre, a déjà fait parler car elle accueillera la première Miss Palestine de l’histoire.
Il reste trois mois à Ève Gilles pour perfectionner sa préparation mêlant cours d’anglais, cours de catwalk pour un défilé impeccable et confection de son costume national. La Nordiste de 22 ans d’origine réunionnaise rendra-t-elle hommage à sa région ou à un symbole fort de la France comme Amandine Petit en Marianne en 2021 ? « Je suis prête à vivre cette aventure et déterminée à faire briller la France sur la scène internationale ! »
, assure l’étudiante en statistiques.
Nul doute que son engagement contre le harcèlement et le cyberharcèlement fera partie intégrante de son projet pour devenir la deuxième Nordiste à repartir avec la couronne de Miss Univers, la première Française depuis Iris Mittenaere en 2017.