Close Menu
Le Méridien
  • Actualités
  • Monde
  • Politique
  • Police
  • Société
  • Education
  • Entreprise
  • Justice
  • Culture
  • Sciences et Tech
  • Plus
    • Environnement
    • Communiqué de Presse
    • Les Tendances
What's Hot

Alain Duhamel : « Nous vivons à la fois une crise de régime et une crise de société »

septembre 7, 2025

Comment la colonisation de la Cisjordanie par Israël entrave la perspective d’un Etat palestinien ? Comprendre en trois minutes

septembre 7, 2025

Au Mexique, les premiers pas d’homme libre de l’ex-compagnon de Florence Cassez

septembre 7, 2025
Facebook X (Twitter) Instagram
Facebook X (Twitter) Instagram YouTube
Se Connecter
septembre 7, 2025
Le Méridien
Histoires Web Bulletin
  • Actualités
  • Monde
  • Politique
  • Police
  • Société
  • Education
  • Entreprise
  • Justice
  • Culture
  • Sciences et Tech
  • Plus
    • Environnement
    • Communiqué de Presse
    • Les Tendances
Le Méridien
Home»Actualités
Actualités

Voici pourquoi vous devriez arrêter de doomscroller, selon une psychologue

Espace PressePar Espace Presseseptembre 4, 2025
Facebook Twitter WhatsApp Copy Link Pinterest LinkedIn Tumblr Email Telegram

  • Le doomscrolling, aussi appelé défilement morbide au Québec, désigne le fait de regarder sans arrêt des informations négatives sur son smartphone.
  • Une habitude liée à l’utilisation des réseaux sociaux qui peut nuire à la santé mentale.
  • La psychologue Amélia Lobbé interpelle sur le fait de limiter cette pratique, qu’on la subisse ou non.

Suivez la couverture complète

Vie pratique

Le smartphone est omniprésent dans nos vies. Selon le baromètre 2025 de l’Autorité de régulation des communications électroniques sur les équipements et usages numériques, 84% des Français utilisent Internet au quotidien. Près de 60% d’entre eux considèrent passer trop de temps sur les écrans. En passant beaucoup de temps sur le Net, nous faisons face à de nombreuses informations qui peuvent s’apparenter à des nouvelles anxiogènes et des faits divers, et ce de façon intempestive… Cette pratique s’appelle le doomscrolling. Il s’agit de la condensation du mot « doom » qui signifie perte et « scroll » qui désigne le fait de faire défiler les contenus numériques, et ce souvent de façon assez automatique. Si des chercheurs américains relèvent l’apparition de ce terme en 2018 sur X (anciennement Twitter), comme le note France Inter, le terme s’est popularisé au moment de la crise sanitaire du Covid-19.

Pourquoi « doomscroller » est négatif pour la santé mentale ?

Faire constamment face à des informations négatives n’est pas sans conséquence. D’autant plus que le doomscrolling peut constamment s’immiscer dans le quotidien et notamment chez les jeunes. Une étude réalisée par NordVPN indique que 77% des 18-24 ans font défiler dès le réveil des vidéos sur leurs portables de façon mécanique. De quoi se faire happer par les réseaux sociaux dès le début de la journée. « L’algorithme nous envoie le même type de contenu que ce qu’on a regardé une fois ou deux. Les créateurs de contenus jouent sur notre curiosité morbide et nous bombardent de contenus vulgaires et violents qui suscitent sidération, effroi et inquiétude« , explique la psychologue Amélia Lobbé sur son compte Instagram. Les études scientifiques montrent que le doomscrolling se nourrit de la notion de FOMO (Fear Of Missing Out) ou la peur de passer à côté de quelque chose.

« Les algorithmes des réseaux sociaux mettent l’accent sur la négativité, ce qui amène notre corps à produire des hormones de stress comme l’adrénaline et le cortisol », indique David Nunez, directeur de la technologie et de la stratégie numérique au MIT Museum, auprès de la revue The Conversation. Selon une étude de l’université texane de technologie réalisée en 2022, 74% des personnes sujettes au doomscrolling déclarent avoir des problèmes de santé mentale. « Notre capacité d’attention est accaparée par les mauvaises nouvelles qui viennent valider nos croyances, telles que « tout va mal », « mieux vaut rester couché », « on va tous mourir »… », analyse Amélia Lobbé.

Comment limiter son temps d’écran ?

« Le doomscrolling est un rouleau compresseur qui provoque désarroi, désespoir, anxiété, découragement, symptômes de dépression », poursuit la psychologue. C’est pourquoi il est nécessaire de s’en détacher. Si le doomscrolling s’amuse avec le cerveau, il existe des moyens de limiter cette habitude et de reprendre le contrôle sur les contenus. Dans un premier temps, il est possible de tenter de « manipuler » les algorithmes en recherchant et visionnant des contenus plus joyeux ou liés à une passion. Les plateformes redirigent alors vers d’autres contenus du même type. Dans les cas où le temps d’écran est trop important, il est possible de limiter l’accès à certaines applications. Depuis juillet 2024, tous les appareils connectés à Internet doivent disposer d’un logiciel de contrôle du temps d’écran ou plus largement, d’une fonctionnalité de contrôle parental. Il existe aussi d’autres applications dédiées à cela. Leurs fonctionnalités offrent la possibilité de limiter le temps passé sur certaines applications, sur une plage horaire précise ou bien en durée. En réduisant son temps d’écran, cela permet d’absorber moins de contenus et de prendre davantage de recul.


Jeanne MARTIN pour TF1 INFO

Partager Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Telegram WhatsApp Email

Articles Liés

Au Mexique, les premiers pas d’homme libre de l’ex-compagnon de Florence Cassez

Actualités septembre 7, 2025

Coupe du monde de rugby 2025 : l’Afrique du Sud, test physique pour les Bleues avant les quarts

Actualités septembre 7, 2025

En direct, Gaza : l’armée israélienne fait état de deux projectiles tirés depuis Gaza vers Israël

Actualités septembre 7, 2025

Vote de confiance : horaires, protocole… Que va-t-il se passer ce lundi à l’Assemblée nationale ?

Actualités septembre 7, 2025

Vladimir Poutine, l’éternelle diplomatie du flou

Actualités septembre 7, 2025

Mostra de Venise : découvrez le palmarès de la 82ᵉ édition

Actualités septembre 7, 2025

Les replays du week-end : « Etre prof » ailleurs, être étudiant à HEC sans avoir « les codes » et parcours de Samir Nasri

Actualités septembre 7, 2025

Ce sentier, bien connu des randonneurs, permet de traverser La Réunion du nord au sud

Actualités septembre 7, 2025

56 morts samedi à Gaza, selon la Défense civile

Actualités septembre 7, 2025

Actualité à la Une

Comment la colonisation de la Cisjordanie par Israël entrave la perspective d’un Etat palestinien ? Comprendre en trois minutes

septembre 7, 2025

Au Mexique, les premiers pas d’homme libre de l’ex-compagnon de Florence Cassez

septembre 7, 2025

Coupe du monde de rugby 2025 : l’Afrique du Sud, test physique pour les Bleues avant les quarts

septembre 7, 2025

Choix de l'éditeur

Sorj Chalandon : « La rue a fait de moi une sentinelle »

septembre 7, 2025

« La Nouvelle-Calédonie mérite mieux que l’impasse prolongée »

septembre 7, 2025

A Gaza, l’effroyable décompte des morts n’inclut pas les dizaines de milliers de victimes indirectes de l’offensive israélienne

septembre 7, 2025

En direct, Gaza : l’armée israélienne fait état de deux projectiles tirés depuis Gaza vers Israël

septembre 7, 2025

Vote de confiance : horaires, protocole… Que va-t-il se passer ce lundi à l’Assemblée nationale ?

septembre 7, 2025
Facebook X (Twitter) Pinterest TikTok Instagram
2025 © Le Méridien. Tous droits réservés.
  • Politique de Confidentialité
  • Termes et Conditions
  • Contacter

Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

Sign In or Register

Welcome Back!

Login to your account below.

Lost password?