Close Menu
Le Méridien
  • Actualités
  • Monde
  • Politique
  • Police
  • Société
  • Education
  • Entreprise
  • Justice
  • Culture
  • Sciences et Tech
  • Plus
    • Environnement
    • Communiqué de Presse
    • Les Tendances
What's Hot

L’Eglise argentine multiplie ses critiques envers les politiques de Javier Milei

septembre 18, 2025

Sur les marchés financiers, l’Italie désormais jugée aussi fiable que la France

septembre 18, 2025

Après les voitures, des airbags pour les avions ?

septembre 18, 2025
Facebook X (Twitter) Instagram
Facebook X (Twitter) Instagram YouTube
Se Connecter
septembre 18, 2025
Le Méridien
Histoires Web Bulletin
  • Actualités
  • Monde
  • Politique
  • Police
  • Société
  • Education
  • Entreprise
  • Justice
  • Culture
  • Sciences et Tech
  • Plus
    • Environnement
    • Communiqué de Presse
    • Les Tendances
Le Méridien
Home»Entreprise
Entreprise

« Un taylorisme augmenté » : comment l’IA dégrade l’organisation du travail

Espace PressePar Espace Presseseptembre 18, 2025
Facebook Twitter WhatsApp Copy Link Pinterest LinkedIn Tumblr Email Telegram

L’impact de l’intelligence artificielle (IA) sur les milieux professionnels est aujourd’hui l’objet d’une intense production éditoriale. Avec, au cœur de nombre d’ouvrages parus, les conséquences des avancées technologiques sur l’emploi.

Dans son nouvel essai, Un taylorisme augmenté (éd. Amsterdam, 192 pages, 13 euros), le sociologue du travail Juan Sebastian Carbonell a décidé d’emprunter une autre voie d’étude, en se concentrant sur l’impact de l’IA sur le quotidien des travailleurs. Comment évolue l’organisation du travail, les conditions d’exercice, mais aussi l’autonomie dans la réalisation des missions ? Quid des tâches effectuées et des savoirs mobilisés ?

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés « Montrer l’envers du décor » : au contre-sommet de l’IA, les conséquences déjà visibles sur de nombreux métiers

Pour l’auteur, le constat est sombre. Au fil de cet ouvrage critique, il explique pourquoi l’IA est « un outil de dégradation du travail entre les mains des entreprises », s’apparentant à un « taylorisme augmenté ». A ses yeux, l’intelligence artificielle tend à « simplifi[er], standardis[er] ou parcellis[er] » des métiers, indépendamment du niveau de qualification exigé pour les exercer. Des préparateurs de commandes peuvent en subir les conséquences, des oncologues également.

Dans le même temps, d’autres principes fondamentaux du taylorisme tels « l’étude du temps pris par chaque opération ou le chronométrage » peuvent être mis en œuvre – en particulier pour les travailleurs des plateformes numériques – au même titre que divers processus de surveillance.

Lire aussi la tribune | Article réservé à nos abonnés « Les transformations induites par l’IA ne se limitent pas à la question de l’emploi, mais touchent aussi à la qualité du travail »

Surtout, le cœur du travail peut être bouleversé en profondeur, en raison de ce que M. Carbonell nomme une « dépossession machinique ». S’intéressant à l’impact de l’IA générative sur des professions qualifiées, il montre ainsi qu’elle prive les travailleurs « des gestes créatifs de leur métier et les réduit au rôle d’“appendices”. En d’autres termes, elle n’est pas [à leur] service (…) et ne les libère pas des tâches monotones et peu intéressantes ; ce sont les travailleurs qui sont mis à son service ».

Il vous reste 48.64% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Partager Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Telegram WhatsApp Email

Articles Liés

Grève du 18 septembre : les syndicats plus que jamais motivés pour faire plier le nouveau premier ministre

Entreprise septembre 18, 2025

Biocoop va bien et veut ouvrir 160 nouveaux magasins dans les quatre ans

Entreprise septembre 18, 2025

Patrick Lefas, président de Transparency International France : « La stigmatisation des ONG est devenue systémique »

Entreprise septembre 18, 2025

En France, le trop lent démarrage de la décarbonation industrielle

Entreprise septembre 18, 2025

Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions : « La galaxie médiatique de Vincent Bolloré veut la peau de l’audiovisuel public »

Entreprise septembre 18, 2025

Le prix Albert Londres sera remis à Beyrouth le 25 octobre ; deux journalistes du « Monde » en lice

Entreprise septembre 17, 2025

Aux Etats-Unis, la Fed baisse ses taux pour relancer l’économie

Entreprise septembre 17, 2025

Luxe : à peine arrivé chez Kering, Luca de Meo promeut Francesca Bellettini pour redresser Gucci

Entreprise septembre 17, 2025

Menaces sur l’économie sociale et solidaire

Entreprise septembre 17, 2025

Actualité à la Une

Sur les marchés financiers, l’Italie désormais jugée aussi fiable que la France

septembre 18, 2025

Après les voitures, des airbags pour les avions ?

septembre 18, 2025

Un « chef-d’œuvre retrouvé » de Pablo Picasso dévoilé à Paris

septembre 18, 2025

Choix de l'éditeur

Grève du 18 septembre : les syndicats plus que jamais motivés pour faire plier le nouveau premier ministre

septembre 18, 2025

Au Nigeria, le président met fin à six mois d’état d’urgence dans l’Etat de Rivers

septembre 18, 2025

les hôpitaux sont « au bord de l’effondrement », alerte le directeur général de l’OMS

septembre 18, 2025

Pourquoi il faut absolument vider votre ancien logement si vous ne l’avez pas encore vendu au premier janvier

septembre 18, 2025

A Plaisir, le Théâtre Eurydice s’affirme comme un lieu de création atypique et inclusif

septembre 18, 2025
Facebook X (Twitter) Pinterest TikTok Instagram
2025 © Le Méridien. Tous droits réservés.
  • Politique de Confidentialité
  • Termes et Conditions
  • Contacter

Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

Sign In or Register

Welcome Back!

Login to your account below.

Lost password?