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A la fashion week homme de Paris, les défilés inspirés de Saint Laurent et de Louis Vuitton

Espace PressePar Espace Pressejuin 25, 2025
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Paris a gagné la bataille de la mode masculine, du moins pour l’instant. Alors que New York et Londres n’organisent plus de fashion week homme et que Milan peine à remplir son calendrier, la capitale française s’impose comme la seule ville encore capable d’attirer des marques d’origines et de tailles variées. Pour la saison printemps-été 2026, 70 événements sont prévus – 40 défilés et 30 présentations – entre le 24 et le 29 juin. Le moment le plus attendu de cette édition bien remplie est sans conteste le premier défilé de Jonathan Anderson pour Dior, qui aura lieu le 27 juin.

En attendant, le premier jour commence fort, avec les shows de Saint Laurent et de Louis Vuitton. Les deux marques concurrentes, qui appartiennent respectivement à Kering et à LVMH, ont l’habitude d’ouvrir ou de fermer la fashion week – une position privilégiée accordée aux plus grosses maisons – et n’ont pas celle de cohabiter la même journée. Mais cette fois, Saint Laurent n’avait d’autre choix que d’organiser son défilé le mardi, jour de fermeture de la Bourse de commerce, qui accueille l’événement. Et Louis Vuitton n’a pas renoncé à sa place de premier.

Ainsi donc, la collection Saint Laurent a été présentée le 24 juin en fin d’après-midi, sous la rotonde du bâtiment où est exposée la collection d’art de François Pinault, fondateur du groupe Kering. L’espace, baigné de lumière grâce à sa coupole vitrée, est en ce moment occupé par l’installation « Clinamen », de Céleste Boursier-Mougenot, un bassin de 18 mètres de diamètre sur lequel dérivent des dizaines de bols en porcelaine blanche.

D’ordinaire, le designer Anthony Vaccarello préfère les ambiances nocturnes pour mettre en scène ses garçons vénéneux et élégants que l’on dirait sortis d’un film. Il a puisé cette fois l’inspiration dans les années 1970, quand les communautés créatives gay se retrouvaient sur Fire Island, une île de l’Etat de New York. Parmi elles, les peintres Billy Sullivan ou Larry Stanton, adeptes de couleurs éclatantes.

« Je ne voulais pas m’enfermer dans l’obscurité des dernières saisons, explique le créateur belge. Je savais qu’il y aurait de la couleur pour cette collection, et qu’elle serait mise en valeur par la lumière naturelle. Et puis, ça marche bien avec l’installation. » En effet, l’eau bleu piscine du bassin, prisonnière des murs en béton gris de la rotonde, résonne avec les looks.

Comme à son habitude, Anthony Vaccarello ne s’éparpille pas : ses 42 silhouettes martèlent la même idée. Les chemises, polos ou vestes à épaulettes dessinent une carrure imposante qui tranche avec la fluidité des matières (soie, Nylon, cupro) ; les pantalons en laine, à pinces, ceinturés et un peu courts, donnent une dimension formelle à l’ensemble. Les hauts, aux teintes flamboyantes – bronze, violet, cognac –, s’opposent à la sobriété des bas, souvent noirs. D’une grande régularité, le vestiaire réserve quelques surprises, telles qu’un trench vermillon translucide, une chemise de pyjama rayée ou un pantalon fluide en satin duchesse. Un équilibre parfait entre les formes et les matières, amplifié par une palette chromatique impeccable.

Tongs aux pieds

Quelques heures plus tard, et à 500 mètres de la Bourse de commerce, Louis Vuitton investit la place Georges-Pompidou, en face du centre culturel du même nom. Alors que Saint Laurent imagine des événements de plus en plus exclusifs – à peine 200 invités, dont beaucoup de réalisateurs et d’acteurs, la maison s’étant lancée dans la production de films –, Louis Vuitton voit les choses en très grand.

Une immense structure occupe le parvis du Centre Pompidou, avec des palissades protectrices, des gradins pour les 1 223 invités, et une scène dont le sol en bois reproduit un plateau de jeu de serpents et échelles, réalisé par l’architecte indien Bijoy Jain, de Studio Mumbai. Ouvert une heure et demie avant le début du show, l’espace se remplit d’une foule de journalistes, influenceurs, sportifs et cadres de LVMH. A 21 h 30 pile, juste avant que le défilé commence, Beyoncé et Jay-Z s’installent au premier rang, à côté de Bernard Arnault, le PDG de LVMH. Un orchestre et un chœur gospel sont présents pour interpréter la bande-son, composée par Pharrell Williams, musicien et directeur artistique des lignes masculines de Louis Vuitton.

Dans l’histoire de la mode, on a vu des marques se servir de mises en scène spectaculaires pour masquer la nullité des vêtements. Mais ici, la collection inspirée par l’Inde est aussi précise que séduisante. « Il ne s’agit pas de faire référence à des silhouettes traditionnelles, mais à la palette de couleurs, à la manière dont les Indiens s’habillent », explique l’Américain, qui, en début d’année, a visité avec ses équipes des ateliers, des palais et des bazars à Bombay, Jaipur et New Delhi.

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En costume indigo ou prince-de-galles légèrement à pattes d’ef, les garçons Vuitton portent des chemises brodées de perles sur le col et des tongs aux pieds. Leurs blousons en cuir ont l’air moelleux comme du beurre et possèdent une belle patine. Les pantalons façon pyjama (encore !) apportent de la décontraction à des manteaux en double cachemire.

L’allure à la fois luxueuse et un peu désuète évoque les films de Wes Anderson, en particulier A bord du Darjeeling Limited (2007), qui se passe en Inde et pour lequel Louis Vuitton avait réalisé des malles rétro à l’imprimé animalier. Les éléphants, girafes et zèbres se retrouvent ici déclinés sur des vêtements et de la maroquinerie du potentiel commercial duquel on ne doute pas. « Je ne suis pas du genre à regarder le passé, car je pense que ma mission est d’innover. Mais pouvoir faire quelque chose en lien avec Wes Anderson, une des idoles qui ont forgé mon goût, ça, c’est une autre affaire ! », déclare le designer. Il aurait tort de s’en priver, car le réalisateur américain révèle un meilleur côté de Pharrell Williams : plus dandy et moins bling-bling.

Lire aussi | Fashion week homme : Milan en mode décontraction

Elvire von Bardeleben

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