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Alors que le désir d’enfant recule, la France se dirige vers une baisse historique des naissances, selon l’INED

Espace PressePar Espace Pressejuillet 9, 2025
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En vingt ans, le désir d’enfant a nettement reculé, ce qui laisse augurer d’une poursuite de la baisse de la fécondité à venir, selon une étude de l’Institut national d’études démographiques (INED) qui paraît mercredi. « Les gens privilégient des familles plus petites et la fécondité va probablement baisser », explique à l’Agence France-Presse (AFP) Milan Bouchet-Valat, coauteur de l’étude.

Cette enquête, parue dans la revue Population et sociétés, analyse les réponses de Français dans le cadre de l’Etude des relations familiales et intergénérationnelles (ERFI 2), conduite en 2024 sur un échantillon représentatif de 12 800 personnes âgées de 18 à 79 ans.

Cette étude donne des informations sur « le nombre idéal d’enfants dans une famille » et le nombre d’enfants que les personnes interrogées ont l’intention d’avoir dans leur vie. L’INED les compare à des enquêtes réalisées en 1998 et en 2005.

Deux enfants, un « maximum »

Le nombre idéal d’enfants était de 2,3 en moyenne en 2024, contre 2,7 en 1998. Plus précisément, deux tiers (65 %) des 18-49 ans considèrent deux comme le nombre idéal d’enfants dans une famille, contre moins de la moitié (47 %) en 1998.

En 1998, la moitié des 18-49 ans considéraient que la famille idéale avait trois enfants et plus, ils ne sont plus que 29 % en 2024. La norme de la famille à deux enfants reste dominante, mais est de plus en plus considérée « comme un maximum et non plus comme un minimum », selon l’INED.

Alors que la chute de la natalité de 7 % en 2023 puis 2 % en 2024, dans un contexte de population qui vieillit, risque d’aggraver les difficultés de financement de la protection sociale basée sur la solidarité, l’étude laisse augurer d’une baisse à venir de la fécondité. En 2024, 663 000 bébés ont vu le jour en France, le plus faible nombre de naissances sur un an depuis la fin de la seconde guerre mondiale.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Démographie : la natalité française toujours en berne

Une baisse de la fécondité à venir semble ainsi corroborée par la baisse du nombre d’enfants souhaités par les jeunes, selon Milan Bouchet-Valat.

Les chercheurs ont par ailleurs constaté un écart entre le nombre d’enfants souhaités et la taille réelle des familles. Les femmes nées en 1980 souhaitaient, en 2005, 2,5 enfants en moyenne, mais n’en ont eu que 2,1. Or, en 2024, le nombre d’enfants souhaités a nettement reculé chez les jeunes de moins de 30 ans : entre 1,9 et 2 enfants.

L’égalité dans le couple, un facteur déterminant

La baisse des intentions de fécondité s’observe dans tous les groupes sociaux, quels que soient le milieu, le revenu, le niveau de diplôme ou le sexe, selon l’INED.

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Entre 2014 et 2024, la fécondité en France est passée de 2,0 à 1,6 enfant par femme. Le renouvellement de générations n’est assuré qu’à partir de 2,1 enfants par femme, en l’absence de migrations.

Les chercheurs avancent la piste d’un effet d’une prise en compte plus grande de l’égalité dans le couple. En 2024, les répondants qui ont une conception égalitaire des rôles des femmes et des hommes dans la société veulent moins avoir des enfants que ceux qui ont des conceptions plus traditionnelles, alors que cette opinion n’avait aucun effet en 2005.

Lire aussi | Le modèle social au défi de la baisse de la natalité

Les hommes plus traditionnels veulent plus d’enfants, « anticipant moins un effet sur leur carrière », que les hommes « égalitaires », « qui réalisent probablement combien un enfant va demander d’investissement parental », explique M. Bouchet-Valat.

Les chercheurs ont aussi examiné les effets des inquiétudes sur l’avenir : 35 % des personnes « très inquiètes pour les générations futures » veulent avoir « un enfant ou un enfant de plus », contre 46 % des personnes moins inquiètes.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés « Alors, le deuxième, c’est pour quand ? » : les parents d’un enfant unique face à la pression sociale

Le Monde avec AFP

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