Aucun lieu de pouvoir n’a été épargné dans la capitale du Népal au cours de deux jours de protestation d’une violence inouïe. L’armée, qui a pris le contrôle du pays, négocie une sortie de crise, alors que le premier ministre a démissionné et que le président est introuvable. Mais les jeunes à l’origine du mouvement n’ont guère voix au chapitre.
Articles Liés
2025 © Le Méridien. Tous droits réservés.