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Culture

Avec « Ma sorcière bien-aimée », la famille idéale américaine frappée par des éclairs de modernité

Espace PressePar Espace Presseaoût 13, 2025
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Série doudou de la télévision française, rediffusée ad nauseam au creux de l’après-midi, Ma sorcière bien-aimée (Bewitched, « ensorcelé » en VO) fut pour beaucoup de Français le premier contact avec la sitcom américaine et ses rires enregistrés. Développé pour la chaîne ABC par le scénariste Sol Saks, le projet s’inspire vaguement du film Ma femme est une sorcière, réalisé à Hollywood par le Français René Clair (1942), et suscite d’abord la méfiance. A l’époque, la sorcellerie reste une affaire sérieuse, dans l’Amérique rurale.

Or c’est précisément à la middle class que la série s’adresse. Pour se développer au-delà des grandes villes, la télévision se doit en effet de proposer de plus en plus de programmes grand public, et rompt très nettement avec le progressisme télévisuel des années 1950, héritage de la radio d’avant-guerre. Bewitched et sa famille idéale, les Stevens, sont mis à l’antenne en 1964 et le générique animé, produit par le studio Hanna-Barbera, entre aussitôt dans la légende. Les premières audiences sont excellentes – 30 millions de téléspectateurs en moyenne à chaque épisode –, et la série s’exporte vite : elle est diffusée en France pour la première fois en 1966.

Pour qui a un peu regardé I love Lucy (1951), Bewitched a effectivement tout d’un retour en arrière. La sorcière en question, Samantha (Elizabeth Montgomery) est femme au foyer. Lorsqu’elle révèle ses pouvoirs magiques à son jeune mari, Jean-Pierre (Darrin en VO, interprété par Dick York), au cours de leur nuit de noces, il lui fait jurer d’y renoncer maintenant qu’elle est mariée. Durant huit saisons, la série jouera du décalage entre une femme dotée de superpouvoirs et un « moldu » souvent dépassé par la situation.

Essor des « magicoms »

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