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Société

Braquage de Kim Kardashian à Paris : les « papys braqueurs » condamnés à des peines allant jusqu’à huit ans de prison, dont trois ferme

Espace PressePar Espace Pressemai 23, 2025
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Un spectaculaire braquage de superstar américaine en pleine Fashion Week de Paris, et neuf ans après, le verdict. La cour d’assises de Paris a condamné, vendredi 23 mai, les « papys braqueurs » de Kim Kardashian à des peines allant jusqu’à huit ans de prison, dont trois ferme, pour le cerveau de l’opération, Aomar Aït Khedache, qui ne purgera cependant pas sa peine en prison.

La cour a décidé d’une confusion de peine avec une précédente condamnation à cinq ans de prison dans son cas, ce qui signifie qu’il ne retournera pas en détention, comme aucun autre des accusés, tous condamnés à des peines largement inférieures à celles réclamées mercredi par l’accusation. La cour a enfin acquitté deux hommes accusés d’être les « taupes » ayant fourni de précieuses informations sur l’agenda de la reine des influenceuses.

Kim Kardashian s’est dite « satisfaite » du verdict, a-t-elle fait savoir par la voix de ses avocats à l’Agence France-Presse. « Je suis profondément reconnaissante envers les autorités françaises d’avoir rendu justice dans cette affaire. Ce crime a été l’expérience la plus terrifiante de ma vie », a expliqué la reine des influenceuses dans une déclaration transmise par ses avocats, disant désormais vouloir « tourner la page ».

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Au procès du braquage de Kim Kardashian, les regrets de trois vieux voyous : « Quand vous connaissez les raccourcis, c’est difficile d’exercer des activités légales »

« Je demande pardon »

Un peu avant, la cour d’assises avait donné une dernière fois la parole aux « papys braqueurs ». Le « cerveau » présumé du braquage, 69 ans, sourd et quasi muet, a noté ses derniers mots sur son cahier, lus par son avocate : « Je demande pardon. Je n’arrive pas à trouver les mots. Je regrette beaucoup », a-t-il écrit, demandant ensuite « mille pardons » à son fils Harminy, qui avait conduit et récupéré son père et deux complices cette nuit du 2 au 3 octobre 2016.

Lecture d’avocat aussi pour Didier Dubreucq, 69 ans également, qui suivait une chimiothérapie en marge du procès pour un cancer mais a dû être hospitalisé : « Jamais au grand jamais je n’ai participé au vol de bijoux », a écrit « Yeux bleus », qui jure ne pas être le deuxième homme monté dans la chambre de Kim Kardashian pour la séquestrer et la dépouiller de 9 millions d’euros de bijoux.

Tour à tour, les autres accusés – ils sont dix en tout – se sont levés pour dire une fois encore leur « innocence », ou s’excuser : « J’ai de nouveau que des regrets à vous offrir, je suis désolé, j’assume ce que j’ai fait », déclare Yunice Abbas, 71 ans. Contre lui et trois autres braqueurs présumés, l’accusation avait requis mercredi dix ans de prison, demandant à la cour de ne pas se fier à leurs « rides rassurantes ».

« Ils ont monté un coup et ils ont réussi »

Au moment des faits, ce sont « des braqueurs chevronnés du grand banditisme » au casier judiciaire chargé, pas des « pieds nickelés ». « La réalité, c’est qu’ils ont monté un coup et qu’ils ont réussi », a martelé l’avocate générale, Anne-Dominique Merville.

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Entre mercredi après-midi et jeudi soir, les avocats de la défense se sont succédé à la barre. « A cet âge, une condamnation à de la prison ferme, c’est la perpétuité », a lancé Me Frank Berton. « Je vous demande d’être à la hauteur. Et il n’y a pas que moi qui vous le demande, Mme Kardashian vous le demande », a-t-il soutenu.

Quand elle est venue témoigner la semaine dernière, la star a accepté les excuses de son client, Aomar Aït Khedache. « Je vous pardonne » même si « ça ne change rien au traumatisme », « je crois à la deuxième chance », lui a dit celle qui étudiait le droit depuis six ans et a enfin obtenu son diplôme, comme elle l’a annoncé jeudi sur les réseaux sociaux à ses 356 millions de followers.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Le moment Kim Kardashian, face à ses braqueurs au Palais de justice de Paris : « Je tiens à dire que je vous pardonne, mais cela n’efface pas le traumatisme »

Le Monde avec AFP

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