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Politique

Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez ne veulent pas de « guerre des chefs » mais affichent leurs différences pour la présidence de LR

Espace PressePar Espace Pressefévrier 16, 2025
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Un affrontement pour la présidence des Républicains (LR) mais pas une « guerre des chefs ». Quelques jours après leur annonce de candidature, Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez ont affiché leur souhait d’éviter un « match sanglant », selon les mots du ministre de l’intérieur, dans Le Parisien, samedi 15 février. « Les différences de fond, de tempérament, d’incarnation ne se règlent pas dans la brutalité mais dans les urnes », a estimé l’élu vendéen.

Regrettant de son côté la candidature de M. Retailleau, en assurant qu’« il y avait plus malin à faire » pour la droite que de « se déchirer », M. Wauquiez a lui aussi affiché son souhait d’écarter toute « guerre », au cours de cette campagne, dimanche soir BFM-TV.

Pour se démarquer de son concurrent – le seul pour l’instant –, Laurent Wauquiez a affirmé qu’il ferait de la lutte contre « l’assistanat » et le « travail » ses thématiques de campagne. Et ce alors que M. Retailleau « parle principalement de la sécurité, de l’immigration », a expliqué M. Wauquiez dimanche soir.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Laurent Wauquiez lance son duel à distance avec Bruno Retailleau pour prendre la tête des Républicains

« On a un système social à repenser et ça fait partie des engagements qui seront les miens à la tête de notre parti », a ajouté M. Wauquiez. « Je considère que pour que la droite soit réentendue par les Français, elle doit s’exprimer sur le régalien, sur l’immigration. Elle doit aussi traiter (…) l’injustice d’un système de protection sociale qui ne reconnaît plus les gens qui travaillent ou qui ont travaillé toute leur vie », a insisté celui qui fustigeait déjà en 2011, dans une formule polémique, « les dérives de l’assistanat », véritable « cancer de la société française ».

« Pour moi, c’est le deuxième problème majeur de la France, il y a trop d’assistanat », a ajouté le député de la Haute-Loire, évoquant également « la dépense publique » et « la bureaucratie ».

Pas de « match sanglant »

De son côté, Bruno Retailleau affirme dans l’interview au Parisien vouloir s’appuyer sur son action au ministère de l’intérieur. « Je vois bien que ma politique de fermeté en matière migratoire, de narcotrafic, de lutte contre l’islamisme séduit jusqu’à des électeurs de gauche. On arrive à la fin d’un cycle. Le temps n’est plus à l’eau tiède et à la rustine », défend-il.

Il affirme vouloir s’adresser aussi « à tous ceux qui veulent que le travail paie plutôt que l’assistanat, que l’Etat se réforme et arrête de faire les poches des Français, que l’école transmette des savoirs et la fierté française ». Et concernant le parti lui-même, son objectif, assure-t-il, est de « retrouver une convivialité, une collégialité, et que les militants ne soient plus considérés comme des remplisseurs de salle ou des distributeurs de tracts ». « Il faut une refondation complète de LR et moderniser notre logiciel, c’est cette obsession de la présidentielle qui nous a empêchés de repenser notre identité, notre projet de société », regrette-t-il.

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Mais pour M. Wauquiez, le ministre de l’intérieur aura « peu de temps libre » pour s’occuper du parti, contrairement à ce qu’affirme M. Retailleau, car « la délinquance ne s’arrête pas à 18 heures » ni « le week-end ». La Place Beauvau est « sans doute un des jobs les plus exigeants au sein du gouvernement », et représente « un travail à temps plein », a attaqué M. Wauquiez.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Bruno Retailleau, désormais candidat à la présidence de LR, lance une inévitable « guerre des chefs » à droite

Selon ce dernier, M. Retailleau serait aussi contraint par « la solidarité gouvernementale » qui l’empêcherait d’avoir « une parole très libre et très indépendante » comme l’exige « la période actuelle », selon M. Wauquiez. Or, « le président de parti, demain, il doit pouvoir s’exprimer très fortement », plaide-t-il. En réponse, M. Retailleau avait assuré samedi dans Le Parisien qu’il n’était « pas homme à mettre [s]es convictions dans [s]a poche ».

Le Monde avec AFP

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