Le roi Charles III a adressé un message de reconnaissance aux organisations caritatives qui soutiennent les patients au Royaume-Uni.
Il a assuré que « les moments les plus sombres de la maladie peuvent être illuminés par la plus grande compassion ».
Le souverain est toujours traité pour un cancer, dont la nature n’est pas connue.
Un diagnostic de cancer est toujours « effrayant ». Ce sont les mots du roi Charles III, ce mercredi 30 avril. Le souverain britannique, toujours traité pour un cancer dont la nature n’est pas connue, a évoqué cette maladie dans un message de reconnaissance adressé aux organisations caritatives qui soutiennent les patients au Royaume-Uni. « Les moments les plus sombres de la maladie peuvent être illuminés par la plus grande compassion », écrit aussi le monarque de 76 ans, avant une réception organisée en l’honneur de ces associations au palais de Buckingham.
Le diagnostic de cette maladie est « impressionnant et parfois effrayant », a reconnu le souverain, qui fait partie « des 390.000 personnes qui, malheureusement, reçoivent » une telle nouvelle chaque année au Royaume-Uni. Charles III, qui poursuit son traitement plus d’un an après l’annonce de sa maladie, a salué le « travail extraordinaire » des organisations caritatives, qui ont « l’admiration et la gratitude les plus profondes de toute (sa) famille ».
Sa belle-fille Kate, épouse du prince héritier William, a également révélé en mars 2024 être atteinte d’un cancer. Elle a ensuite annoncé en septembre la fin de sa chimiothérapie et la rémission de son cancer en janvier 2025. Le monarque britannique a souligné l’importance « du lien humain », qu’il s’agisse « de l’explication minutieuse d’une infirmière, de la main tenue par le bénévole d’un centre de soins palliatifs ou de l’expérience partagée dans un groupe de soutien ».
Une source royale citée par l’agence PA a déclaré qu’il n’y avait pas de nouvelle information sur l’état de santé du roi ou son traitement, mais que cela allait dans une « direction très positive » comme en témoigne son programme « très chargé ».