Le chef de la cellule de coordination des actions de terrain (CCAT), libéré le 12 juin, a contesté les charges qui lui ont été reprochées, lors d’une conférence de presse mercredi. Le militant a exprimé sa tristesse sur la situation de la Nouvelle-Calédonie et a plaidé pour une pleine souveraineté de l’archipel.
Articles Liés
2025 © Le Méridien. Tous droits réservés.