C’est un coup de filet de l’Office français de la biodiversité. Sept personnes ont été interpellées pour braconnage. On les soupçonne d’avoir pêché ce qu’on appelle les civelles, les alevins d’anguilles, très prisées sur le marché asiatique. Le prix au kilo peut atteindre les 6 000 euros. Palourdes, pouces-pieds, oursins, nombreux sont les produits de la mer également commercialisés dans les trafics illégaux. Tous ont un point commun. Leur pêche, pour protéger l’espèce, est soumise à des quotas.
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