Close Menu
Le Méridien
  • Actualités
  • Monde
  • Politique
  • Police
  • Société
  • Education
  • Entreprise
  • Justice
  • Culture
  • Sciences et Tech
  • Plus
    • Environnement
    • Communiqué de Presse
    • Les Tendances
What's Hot

« “Mieux mobiliser l’épargne” ne signifie pas grand-chose »

juin 7, 2025

Météo du 6 juin 2025 : Prévisions météo à 20h57

juin 7, 2025

Un apéro avec Catherine Tanvier : « J’étais la meilleure joueuse de tennis française et pourtant j’étais seule »

juin 7, 2025
Facebook X (Twitter) Instagram
Facebook X (Twitter) Instagram YouTube
Se Connecter
juin 7, 2025
Le Méridien
Histoires Web Bulletin
  • Actualités
  • Monde
  • Politique
  • Police
  • Société
  • Education
  • Entreprise
  • Justice
  • Culture
  • Sciences et Tech
  • Plus
    • Environnement
    • Communiqué de Presse
    • Les Tendances
Le Méridien
Home»Société
Société

Des séances de karaté pour aider les femmes victimes de violences à se reconstruire

Espace PressePar Espace Pressejuin 6, 2025
Facebook Twitter WhatsApp Copy Link Pinterest LinkedIn Tumblr Email Telegram

Ce jeudi de mai, elles sont cinq femmes en kimono à suivre la séance de karaté dans la Maison Calypso, à Plaisir (Yvelines), un lieu d’accueil, d’écoute et de prise en charge des femmes victimes de violences, l’une des 13 maisons des femmes soutenues par l’agence régionale de santé d’Ile-de-France. Les nouveaux locaux de la Maison Calypso viennent d’être ouverts.

C’est le personnel soignant qui propose l’atelier, intégré dans le parcours de soins. Il est imaginé par l’association Fight for Dignity, créée en 2017 par Laurence Fischer, triple championne du monde de karaté. Son objectif : accompagner les femmes victimes de violences grâce à une pratique sportive adaptée, respectueuse de leur corps et de leur histoire.

Rappelons qu’une femme sur trois expérimentera des violences physiques, psychologiques, et/ou sexuelles au cours de sa vie, selon des chiffres de l’Organisation mondiale de la santé. Les conséquences sur la santé psychique (avec des risques accrus de dépression ou de stress post-traumatique, notamment) et sur la santé physique sont nombreuses.

Lire aussi | Laurence Fischer : « Avec le karaté, je voulais aider les femmes victimes de violences »

Dans l’une des salles flambant neuves, trois nouvelles venues et deux habituées sont sur les tatamis. La séance, qui a lieu tous les jeudis, est menée par Sophie Manuguerra-Aillaud, professeure de karaté. Pas de performance attendue ici, seulement une progression, chacune à son rythme. La séance commence par un échauffement en marchant lentement, puis en trottinant. Les échanges se font à travers des gestes codifiés : on tente de poser une main sur une épaule ou sur le ventre, avec le consentement de l’autre. Petit à petit, les visages se détendent, des sourires se dessinent.

Le vocabulaire utilisé

Les coups, ou plutôt les tsuki, du nom japonais, sont portés uniquement sur des cibles en mousse. « Vous êtes libres de faire ou de ne pas faire l’exercice », rappelle l’enseignante. « Ce travail corporel permet souvent de renouer avec des sensations du corps parfois oubliées, notamment grâce à la respiration ou à l’engagement du périnée », souligne Sophie Manuguerra-Aillaud, également sophrologue. Une attention particulière est portée au vocabulaire utilisé : aucun mot associé à la violence n’est prononcé. Pas de « coup », pas « d’attaque ». Le cadre est fixe, bienveillant.

Il vous reste 46.45% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Partager Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Telegram WhatsApp Email

Articles Liés

Femme brûlée vive à Metz : le conjoint condamné à vingt-cinq ans de prison

Société juin 7, 2025

L’ancien directeur de Saint-Jean-de-Passy à Paris condamné à cinq ans de prison avec sursis pour agression sexuelle

Société juin 6, 2025

Rachida Dati fragilisée par ses liens avec des avocats cités dans l’affaire Carlos Ghosn

Société juin 6, 2025

Agressions sexuelles : un étudiant en médecine exclu pour trois ans de l’enseignement supérieur

Société juin 6, 2025

Florence Bara, professeure de psychologie cognitive : « Cher à la France, le formalisme de l’écriture cursive n’est pas vraiment utile »

Société juin 6, 2025

Attentat raciste dans le Var : les proches d’Hichem Miraoui appellent à une marche blanche « dans le respect »

Société juin 6, 2025

Au procès Ubisoft, les justifications maladroites des ex-cadres accusés de harcèlement : « Les temps ne sont plus les mêmes »

Société juin 6, 2025

Yannick Jadot relaxé dans le cadre d’une plainte en diffamation de TotalEnergies

Société juin 6, 2025

« Les femmes sont sous-représentées dans la recherche économique »

Société juin 6, 2025

Actualité à la Une

Météo du 6 juin 2025 : Prévisions météo à 20h57

juin 7, 2025

Un apéro avec Catherine Tanvier : « J’étais la meilleure joueuse de tennis française et pourtant j’étais seule »

juin 7, 2025

« Un coup extrêmement violent » : le rabbin agressé à Neuilly-sur-Seine témoigne sur TF1 et LCI

juin 7, 2025

Choix de l'éditeur

Donald Trump autorisé par une cour d’appel à bloquer certains accès de la Maison Blanche à l’agence AP

juin 7, 2025

Séparation : peut-on annuler un emprunt en commun ?

juin 7, 2025

Au Brésil, la déforestation en Amazonie s’est accélérée au cours des dix derniers mois

juin 7, 2025

Femme brûlée vive à Metz : le conjoint condamné à vingt-cinq ans de prison

juin 7, 2025

Aux Etats-Unis, la Cour suprême autorise le DOGE à accéder aux données sensibles de la Sécurité sociale

juin 7, 2025
Facebook X (Twitter) Pinterest TikTok Instagram
2025 © Le Méridien. Tous droits réservés.
  • Politique de Confidentialité
  • Termes et Conditions
  • Contacter

Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

Sign In or Register

Welcome Back!

Login to your account below.

Lost password?