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Société

Des séances de karaté pour aider les femmes victimes de violences à se reconstruire

Espace PressePar Espace Pressejuin 6, 2025
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Ce jeudi de mai, elles sont cinq femmes en kimono à suivre la séance de karaté dans la Maison Calypso, à Plaisir (Yvelines), un lieu d’accueil, d’écoute et de prise en charge des femmes victimes de violences, l’une des 13 maisons des femmes soutenues par l’agence régionale de santé d’Ile-de-France. Les nouveaux locaux de la Maison Calypso viennent d’être ouverts.

C’est le personnel soignant qui propose l’atelier, intégré dans le parcours de soins. Il est imaginé par l’association Fight for Dignity, créée en 2017 par Laurence Fischer, triple championne du monde de karaté. Son objectif : accompagner les femmes victimes de violences grâce à une pratique sportive adaptée, respectueuse de leur corps et de leur histoire.

Rappelons qu’une femme sur trois expérimentera des violences physiques, psychologiques, et/ou sexuelles au cours de sa vie, selon des chiffres de l’Organisation mondiale de la santé. Les conséquences sur la santé psychique (avec des risques accrus de dépression ou de stress post-traumatique, notamment) et sur la santé physique sont nombreuses.

Lire aussi | Laurence Fischer : « Avec le karaté, je voulais aider les femmes victimes de violences »

Dans l’une des salles flambant neuves, trois nouvelles venues et deux habituées sont sur les tatamis. La séance, qui a lieu tous les jeudis, est menée par Sophie Manuguerra-Aillaud, professeure de karaté. Pas de performance attendue ici, seulement une progression, chacune à son rythme. La séance commence par un échauffement en marchant lentement, puis en trottinant. Les échanges se font à travers des gestes codifiés : on tente de poser une main sur une épaule ou sur le ventre, avec le consentement de l’autre. Petit à petit, les visages se détendent, des sourires se dessinent.

Le vocabulaire utilisé

Les coups, ou plutôt les tsuki, du nom japonais, sont portés uniquement sur des cibles en mousse. « Vous êtes libres de faire ou de ne pas faire l’exercice », rappelle l’enseignante. « Ce travail corporel permet souvent de renouer avec des sensations du corps parfois oubliées, notamment grâce à la respiration ou à l’engagement du périnée », souligne Sophie Manuguerra-Aillaud, également sophrologue. Une attention particulière est portée au vocabulaire utilisé : aucun mot associé à la violence n’est prononcé. Pas de « coup », pas « d’attaque ». Le cadre est fixe, bienveillant.

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