Si, ces quatre dernières années, l’association de Max Verstappen et de Red Bull a propulsé la formule 1 vers de nouveaux sommets, le public n’y a pas toujours trouvé son compte. A Londres, le 18 février, les fans présents lors de la présentation des nouvelles monoplaces de la saison 2025 ont d’ailleurs chahuté le pilote néerlandais en le huant.
La domination du champion en titre a souvent limité le suspense. Cependant, la fin de la saison 2024 a ouvert d’éventuelles perspectives. Sous l’effet d’un renversement de la hiérarchie au sein des écuries au profit de McLaren, vainqueur du classement des constructeurs, l’édition 2025 s’annonce plus incertaine que les précédentes.
D’autant que la réglementation technique sera bouleversée en 2026, ce qui devrait favoriser un resserrement des performances des monoplaces dès cette année. Le premier rendez-vous de la saison est le Grand Prix d’Australie, sur le circuit de l’Albert Park de Melbourne, de vendredi 14 à dimanche 16 mars.
Lewis Hamilton chez Ferrari, un pari gagnant ?
L’arrivée du pilote le plus populaire au sein de l’écurie la plus populaire constitue l’attraction de cette saison 2025. « Tout est palpitant. Enfant, je rêvais de courir pour Ferrari, et je me pince encore pour croire que cela est vraiment en train de se produire », raconte Lewis Hamilton.
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