- Le Premier ministre consulte à nouveau ses alliés du MoDem, d’Horizons, de Renaissance et des Républicains ce lundi.
- Sébastien Lecornu cherche ainsi toujours à former son gouvernement.
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Minute par minute
À L’AGENDA DE SÉBASTIEN LECORNU
Le Premier ministre Sébastien Lecornu doit revoir ce lundi les chefs de parti et de groupe du socle commun. Les nouvelles consultations politiques – RN compris – auront lieu jeudi et vendredi.
UN ANCIEN PREMIER MINISTRE À L’ASSEMBLÉE
Moins d’un an après y avoir été renversé, l’ex-Premier ministre Michel Barnier (LR) va retrouver les bancs de l’Assemblée nationale grâce à son élection dimanche comme député lors de la législative partielle dans la 2e circonscription de Paris.
Largement favori dans cette circonscription des beaux quartiers de la rive gauche réputée imperdable pour la droite, le Savoyard de 74 ans a annoncé dimanche soir sa victoire avec « plus de 62% des suffrages exprimés » face à la socialiste Frédérique Bredin.
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Les chefs de parti et de groupe de la coalition gouvernementale seront reçus à Matignon, lundi 29 septembre, à l’heure du déjeuner, à l’avant-veille de l’ouverture de la session parlementaire et alors que le Premier ministre doit annoncer prochainement la composition de son gouvernement. Sébastien Lecornu cherche ainsi toujours à former une équipe ministérielle qui pourrait lui éviter la censure et lui permettre d’élaborer le budget 2026.
Ces derniers jours, la gauche a été très critique sur le manque de concessions que serait prêt à faire le Premier ministre pour bâtir un accord de non censure avec elle. « Le PS ne peut pas faire semblant de ne pas voir qu’il n’y a pas des pistes nouvelles de négociations ouvertes par le Premier ministre »,
a pourtant répondu l’entourage du Premier ministre à LCI ce dimanche.
« Le socle commun a compris qu’il serait battu dans l’hémicycle sur certains sujets. Et que d’autres sujets ne feront pas l’objet de passage en force avec les partenaires sociaux. C’est une rupture »,
a poursuivi cette même source. « Nous devons chacun être prêt à accepter que la copie ne pourra pas correspondre à 100% de nos propositions ou idées. C’est vrai pour le gouvernement, pour le socle commun, mais c’est aussi vrai pour les oppositions. »