- Mercredi, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a estimé qu’il n’y avait « à l’heure actuelle probablement rien de plus important » que le « processus sérieux » en cours.
- Il a toutefois prévenu qu’il était encore « trop tôt » pour savoir si une possible sortie du conflit approchait.
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Ukraine-Russie : la perspective de négociations relancée ?
Mercredi 26 novembre, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a estimé qu’il n’y avait « à l’heure actuelle probablement rien de plus important »
que le « processus sérieux »
en cours, tout en prévenant qu’il est encore « trop tôt »
pour savoir si une possible sortie du conflit approchait. Moscou a notamment relevé mercredi certains points « positifs »
dans le plan américain, après avoir rejeté une contre-proposition européenne.
Tandis que l’Ukraine pousse à l’organisation cette semaine d’une visite du président Volodymyr Zelensky aux États-Unis pour des négociations avec Donald Trump, l’émissaire américain Steve Witkoff est attendu la semaine prochaine à Moscou.
« L’Europe doit maintenir la pression sur la Russie, jusqu’à ce qu’il y ait une paix juste et durable. Et je veux être très claire : l’Europe se tiendra aux côtés de l’Ukraine et la soutiendra à chaque étape »
, a dit mercredi la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.
Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé mercredi s’être entendu avec le gouvernement ukrainien pour un nouveau programme d’aide de 8,2 milliards de dollars, sur quatre ans, afin de soutenir « une série de réformes macroéconomiques et structurelles »
visant à stabiliser l’économie du pays en guerre.
Selon les services de secours ukrainiens, la ville de Zaporijia (sud) a subi une attaque russe « massive »
dans la nuit de mardi à mercredi. Une trentaine d’immeubles ont été endommagés et au moins 19 civils ont été blessés, selon le dernier bilan du médiateur ukrainien pour les droits humains, Dmytro Loubinets. La veille, une attaque dans la capitale Kiev avait fait au moins sept morts.









