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Finales NBA : un panier à l’ultime seconde offre la victoire aux Pacers dans le premier match face au Thunder

Espace PressePar Espace Pressejuin 6, 2025
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C’est probablement l’une des plus grandes sensations dans le sport. Le joueur des Indiana Pacers Tyrese Haliburton a signé, à la dernière seconde, le panier de la victoire pour permettre à son équipe d’empocher, jeudi 5 juin, la première manche des finales NBA, sur le parquet de l’Oklahoma City Thunder (111-110).

« Le basket, c’est génial. Gagner est génial », s’est exclamé le héros du soir après son exploit. Et c’est probablement encore plus fort quand votre équipe a été menée durant l’intégralité de la rencontre.

Après avoir vu leur avion dérouté mardi soir, puis un déluge s’abattre sur la ville mercredi après-midi, les Pacers ont longtemps pris la tempête dans le boucan d’enfer du Paycom Center, finalement réduit au silence par ce tir assassin.

Le meneur des Pacers, qui avait éteint de façon similaire le Madison Square Garden de New York lors du match numéro un de la finale de Conférence Est, continue de se forger une réputation de super-méchant dans les salles les plus chaudes de la ligue nord-américaine de basket. Spécialistes des renversements de situation et des fins de partie improbables, les joueurs d’Indiana ont bien gagné cette première rencontre d’une série au meilleur des sept matchs, en ayant été en tête pendant au total trois dixièmes de seconde. Les trois derniers.

Lire aussi | NBA : Indiana écarte New York et rejoint Oklahoma City en finale

Gilgeous-Alexander rate sa chance

Le Thunder, qui menait encore de 15 points à 9 minutes de la sirène, semblait avoir pris un départ parfait dans le sillage de sa défense étouffante, qui a contraint des Pacers par ailleurs un peu balourds à 24 pertes de balle, dont 19 avant la pause.

Surtout, le MVP (« Most valuable player », meilleur joueur) de la saison régulière, Shai Gilgeous-Alexander, semblait sur un nuage, lui qui a compilé 38 points, 5 rebonds et 3 passes, et avait marqué le premier panier d’un match qui devait être le sien. Mais « SGA » a raté, comme cela lui arrive rarement, un tir à mi-distance qui aurait pu donner 3 points au Thunder d’avance à 11 secondes de la sirène.

Lire aussi | Shai Gilgeous-Alexander, le meneur canadien qui a remis Oklahoma City au sommet de la NBA, sacré meilleur joueur de la saison

Dans la foulée, Tyrese Haliburton, lui, n’a pas manqué cette occasion en or. « On devait juste tenir. Notre première période a été dure avec 19 balles perdues, heureusement on avait que 9 points de retard » à la pause, a commenté l’entraîneur des Pacers, Rick Carlisle, en conférence de presse. « On a vécu beaucoup de ce genre de matchs. Les gars savent ce qu’il faut faire pour se donner une chance. On a eu un peu de réussite », a-t-il avoué.

Cette finale inédite va offrir un premier titre NBA à l’une des deux franchises, même si les ancêtres du Thunder, les Seattle SuperSonics, avaient été sacrés en 1979.

« Un match dure 48 minutes »

Les Pacers ont ainsi pris la main avant le match deux, dimanche, toujours dans l’Oklahoma, où le Thunder s’est installé en 2008, rassemblant un public fidèle autour d’un joyau que peu avaient vu venir, Gilgeous-Alexander. Mais les appuis de dragster du meneur canadien, aidé par Jalen Williams (17 points) et Luguentz Dort (15 points, tous de loin), n’ont pas suffi jeudi, plusieurs coéquipiers ne se montrant pas au niveau en attaque comme Chet Holmgren (6 points).

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Malgré la prière d’avant match au micro du stade, ponctuée par un « amen » collectif, malgré la reprise à tue-tête par les 18 200 spectateurs de Titanium de David Guetta et Sia dans le quatrième quart-temps, les Pacers ont fini par revenir grâce à leur adresse de loin (18 sur 39 à 46,2 %).

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Oklahoma City Thunder et Indiana Pacers en finales NBA, la revanche des « petits marchés »

Pascal Siakam (19 points, 10 rebonds), déjà champion avec les Toronto Raptors en 2019, a aussi tenu le choc, avant que des tirs de loin de Obi Toppin (17 points), Myles Turner (15 points) et Andrew Nembhard (14 points) ne rapprochent Indiana avant le dernier tir d’Haliburton (14 points, 10 rebonds, 6 passes).

« On a contrôlé la majeure partie du match », a déclaré Gilgeous-Alexander. « Mais un match dure 48 minutes. Et personne ne vous fait apprendre cette leçon mieux qu’eux. De la manière la plus dure », a-t-il reconnu. Le joueur canadien devra se montrer, dimanche, bon élève et prouver qu’il l’a bien retenue.

Le Monde avec AFP

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