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« Gaza, une guerre coloniale » : inscrire le 7-Octobre et la guerre contre le Hamas dans l’histoire

Espace PressePar Espace Pressejuin 7, 2025
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Livre. « Domicide », « urbicide », « culturicide », « futuricide », « génocide » ? Comment qualifier la guerre de Gaza ? Peut-on d’ailleurs parler de guerre dans la mesure où la partie palestinienne, depuis plusieurs mois déjà, n’est pas à même d’opposer la moindre résistance armée à l’invasion israélienne ? Chacun des auteurs du livre collectif Gaza, une guerre coloniale (Actes Sud et Institut d’études palestiniennes, 320 pages, 23 euros) est libre de qualifier comme il le souhaite le conflit en cours.

Mais une même approche les rassemble tous : le prisme colonial. « Si le 7-Octobre fait événement, il s’inscrit néanmoins dans des continuités sociales et politiques en lien avec le processus colonial et l’importance de la question palestinienne », écrivent les deux coordinatrices de l’ouvrage, Véronique Bontemps, anthropologue, et Stéphanie Latte Abdallah, historienne et politiste.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés « Je suis à peine de retour que me submerge déjà la tragédie de ce territoire assiégé » : l’historien Jean-Pierre Filiu raconte son séjour à Gaza

Elles se réfèrent toutes deux à la théorie du settler colonialism (« colonialisme de peuplement » ou « d’expropriation »), définie par l’historien britannique Patrick Wolfe (1949-2016), qui travailla la plus grande partie de sa vie en Australie. « L’apport heuristique de ces approches est de considérer la Nakba de 1948 [l’expulsion de 850 000 réfugiés palestiniens et la destruction de plus de 500 villages] non simplement comme un événement fondateur, mais comme un processus permanent à l’œuvre, sous des modalités différentes, dans les territoires de la Palestine », ajoutent les deux autrices.

Un centre urbain et agricole

L’entreprise coloniale israélienne à Gaza n’a de fait pas « recommencé » après le 7 octobre 2023, à la faveur des attaques terroristes menées par le Hamas et ses alliés dans le sud d’Israël. Elle n’a jamais cessé. Car, contrairement à ce qui est communément dit et écrit, le « retrait » israélien de Gaza, ordonné par Ariel Sharon, en 2005, n’a mis fin ni à l’occupation ni à la colonisation de l’enclave palestinienne. En contrôlant toutes les frontières − terrestre, maritime et aérienne − de la bande de Gaza et toutes les entrées, des personnes comme des marchandises et des services, Israël n’a fait que poursuivre une politique de contrôle, de modelage et d’étranglement, destinée à y rendre la vie aussi pénible que possible.

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